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Le gouvernement canadien a décidé de quitter le Protocole de Kyoto, au lendemain de la Conférence mondiale sur le Climat à Durban. Après avoir annoncé à plusieurs reprises son refus de signer la prolongation du protocole sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, le Canada est le premier État à se retirer.
Les autorités ont affirmé que le protocole « ne fonctionnait pas » et que la « plateforme de Durban » représentait le chemin de l’avenir. Le ministre fédéral canadien de l’Environnement, Peter Kent, a ajouté que la Conférence de Durban était « un chemin permettant d’avancer », tandis que le Protocole de Kyoto était « plutôt un obstacle ».
Le Protocole de Kyoto « appartient au passé »
Entré en vigueur en l’an 2000, le Canada devait réduire en 2012 ses émissions de GES de 6% par rapport au niveau de 1990, mais celles-ci ont à l’inverse considérablement augmenté. En 2006, le nouveau gouvernement conservateur avait refusé de remplir ses obligations, mais a promis de diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 17% d’ici 2020 par rapport à 2005.
« Nous avons dit depuis longtemps que nous ne prendrions pas une deuxième période d’engagement dans le Protocole de Kyoto. Nous ne bloquerons pas, ni ne découragerons ceux qui le font, mais pour le Canada, Kyoto appartient au passé », a-t-il déclaré à la presse canadienne lundi 12 décembre. Ce protocole est pourtant le seul outil juridique imposant la limitation des émissions polluantes, à l’origine du réchauffement de la planète. Le protocole impose aux 36 pays industrialisés qui l’ont ratifié et à l’Union européenne des réductions d’émissions des six principales substances responsables du réchauffement de l’atmosphère, au premier rang desquelles le CO2, a précisé “Le Monde”.
Une vision comptable de la situation
Peter Kent a mis en avant le coût élevé du respect de Kyoto. Ce dernier a indiqué qu’il aurait fallu bannir tous les véhicules à moteur des routes ou « fermer » tout le secteur agricole et « couper le chauffage dans toutes les habitations, bureaux, hôpitaux et usines » du pays. Le quotidien “Le Monde” a rapporté les propos du ministre de l’Environnement, qui a évoqué « la perte de milliers d’emplois ou le transfert de 14 milliards de dollars des contribuables canadiens à d’autres pays, soit 1.600 dollars par famille, sans le moindre impact sur les émissions ou l’environnement ».
L’opposition parlementaire a évoqué « une estimation inventée », a indiqué Megan Leslie (Nouveau parti démocratique, gauche). Cette dernière a évoqué devant les journalistes la volonté du gouvernement de se soustraire « à ses obligations internationales. Nous sommes comme un enfant qui ne réussit pas en classe, et qui préfère abandonner l’école avant que les mauvaises notes n’arrivent », a-t-elle dit.
Réagissant à l’annonce du gouvernement canadien du retrait du Protocole de Kyoto, la présidente nationale du Conseil des Canadiens, Maude Barlow, a également critiqué cette décision. « Le gouvernement Harper a transformé le Canada en retardataire récidiviste sur le problème le plus pressant de notre époque, la lutte contre le changement climatique. Cela ne peut que nuire gravement à notre réputation internationale », a estimé cette dernière.
Céline Tabou
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