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2 mai 2008
D’après une étude, le changement climatique à Sydney sera surtout ressenti par les personnes âgées et les plus pauvres. Les températures à Sydney devraient augmenter de plus de 1,3°C d’ici 2030 et jusqu’à 4,3°C d’ici 2070.
Le changement climatique affectera davantage les personnes pauvres et les personnes âgées à Sydney, étant donné que beaucoup d’entre elles vivent dans les zones côtières de basse altitude, plus vulnérables à l’augmentation du niveau des mers. De plus, ces personnes ne peuvent pas se permettre d’acheter des technologies qui les protègent des canicules qui représentent une menace pour leur vie.
C’est la conclusion d’une nouvelle étude, soutenue par le gouvernement australien, qui a étudié non seulement les facteurs environnementaux du changement climatique, mais également de quelle façon les critères socio-économiques déterminent la vulnérabilité des individus au phénomène.
L’étude, réalisée par l’Organisation de Recherche Industrielle et Scientifique du Commonwealth (CSIRO), a étudié 158 régions côtières de Sydney pour identifier celles les plus en danger et celles qui sont le moins exposées au changement climatique, et cherchait à déterminer pourquoi il existait de telles différences.
Les périphéries de basse altitude de Rockdale et de Botany Bay, les zones côtières du Sud du quartier d’affaires de Sydney et le site du principal aéroport international de l’Australie, ont été classées parmi les zones les plus menacées par l’augmentation du niveau des mers, les inondations éclairs et la chaleur extrême. Ces trois phénomènes sont des manifestations du changement climatique.
Les deux périphéries ont été également classées parmi les zones à haut risque parce qu’elles abritent un grand pourcentage de personnes âgées et d’habitants à bas revenus qui ne peuvent pas se permettre d’acheter des systèmes de climatisation pour lutter contre les canicules mortelles, et qui ne peuvent pas non plus rénover leur maison pour qu’elles soient plus efficientes thermiquement.
En comparaison, les périphéries les plus riches de Sydney, comme par exemple Mosman et Warringah, les périphéries qui sont en altitude au Nord de la ville, ainsi que les périphéries de l’Est de la ville dans les collines, telles que Woollahra et Waverley, ont été classées parmi les zones les plus capables de gérer les effets du changement climatique.
« Les conséquences du changement climatique dans les régions côtières de Sydney seront autant dues aux facteurs socio-économiques et à la législation qu’aux dangers climatiques tels que les canicules et les tempêtes », a déclaré Benjamin Preston, d’un comité du CSIRO.
« Les différentes zones de Sydney feront l’expérience du changement climatique de différente manière selon leur situation géographique, leur démographie et les ressources à leur disposition pour gérer les risques futurs du changement climatique », a déclaré Benjamin Preston.
L’étude du CSIRO indique que le climat côtier de Sydney, à l’avenir, devrait être à la fois plus chaud et plus sec, mais présentera des évènements extrêmes tels que de fortes précipitations ou des feux de forêts. Par ailleurs, l’augmentation du niveau des mers sera à l’origine d’inondations et de l’érosion des plages.
Les températures à Sydney devraient augmenter de plus de 1,3°C d’ici 2030 et jusqu’à 4,3°C d’ici 2070. La moyenne actuelle des températures en été est de 26 à 29°C. La radiation solaire à Sydney devrait augmenter de 2% d’ici 2030 et jusqu’à 6% d’ici 2070.
L’étude indique par ailleurs qu’environ 176 personnes de plus de 65 ans meurent chaque année à Sydney à cause de la chaleur. Ces décès liés à la chaleur pourraient atteindre les 432 à 1.042 cas d’ici la fin du siècle, surtout parmi les personnes âgées et les jeunes enfants dans les familles les moins capables de réguler leur environnement.
L’étude indique enfin que le niveau des mers devrait augmenter de 3 à 16 centimètres d’ici 2030, et de 7 à 50 centimètres d’ici 2070.
(Sources : Actualités. News-Environnement)
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