
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Impact sur les pays du Pacifique
27 novembre 2013, par
Selon un rapport de la Banque asiatique de Développement (BAD), le changement climatique va peser sur la croissance de plusieurs pays du Pacifique, notamment dans les archipels qui demandent aux pays responsables d’apporter leur aide.
Sur son site, la nouvelle étude de la BAD, “L’économie du changement climatique dans le Pacifique”, indique que la perte économique subie par la région du Pacifique pourrait varier de 2,9% à 12,7% du PIB annuel en 2100.
Des impacts économiques évidents
Les changements climatiques dans le Pacifique ont un impact sur « la modélisation du climat futur sur la région du Pacifique » , mais aussi sur l’agriculture, la pêche, le tourisme, les récifs coralliens et la santé humaine. Des prévisions sur le potentiel impact économique du changement climatique mettent en évidence des conséquences dans des secteurs spécifiques et des économies à travers divers scénarios d’émissions.
Parmi les pays du Pacifique les plus touchés économiquement par le réchauffement climatique, l’étude cite la Papouasie-Nouvelle-Guinée (baisse de 15,2% du PIB d’ici 2100), le Timor oriental (-10%), le Vanuatu (-6,2%), les îles Salomon (-4,7%), les Fidji (-4%) et les Samoa (-3,8%). Le rapport a estimé que la région du Pacifique pourrait nécessiter entre 447 millions et 775 millions de dollars jusqu’en 2050, et il devrait coûter 2,5% du PIB par an à la région pour se préparer au pire scénario.
« Il est crucial que les pays qui sont responsables de ce changement climatique interviennent pour aider leurs voisins et amis du Pacifique dans la lutte qu’ils mènent pour se protéger des catastrophes naturelles, des pertes dans les récoltes et d’une immigration forcée », a déclaré Xianbin Yao, directeur général de la BAD pour le Pacifique. N’ayant pas directement nommé les pays responsables, les États-Unis, la Chine, l’Inde, l’Australie et l’Union européenne sont parmi les régions les plus polluantes.
Une aide signée, mais sans volonté réelle
Quelques jours après la clôture officielle du Sommet sur le Climat de Varsovie, l’annonce de la BAD vient conforter la position des pays du Sud vis-à-vis d’une aide financière promise par les pays du Nord. Un accord a été trouvé le 23 novembre concernant — entre autres — l’aide financière aux pays du Sud, mais celui-ci ne répond pas aux exigences de ces derniers. Les pays du Sud voulaient plus de visibilité sur la mobilisation des 100 milliards de dollars promis d’ici 2020 pour les aider à faire face au changement climatique.
En effet, l’accord ne fixe pas de débat sur les montants intermédiaires et « presse » seulement les pays développés à « continuer à mobiliser de l’argent public, à des niveaux supérieurs » à ceux de l’aide d’urgence décidée pour 2010-2012, soit 10 milliards de dollars par an.
Cette aide financière pourrait permettre aux pays « pauvres » de faire face aux changements climatiques, à travers différentes mesures d’adaptation et de prévention, mais aussi pour répondre à l’urgence comme aux Philippines, où le typhon Haiyan a dévasté des régions entières et où l’aide d’urgence s’est faite au compte-goutte.
Selon la BAD, en se basant sur un scénario de prévisions moyennes d’émissions de gaz à effet de serre, les pays du Pacifique pourraient enregistrer une hausse de 2 à 3 degrés Celsius de leurs températures d’ici 2070.
Céline Tabou
Aux dirigeants de prendre des mesures Le rapport de la Banque asiatique de Développement interpelle les dirigeants politiques afin qu’ils prennent des mesures d’urgence pour intégrer l’atténuation du changement climatique dans la planification du développement, mais aussi élaborer des stratégies d’adaptation prospectives. Le rapport recommande d’améliorer la viabilité des impacts du changement climatique sur le long terme et le renforcement de la capacité des pays du Pacifique à faire face au changement climatique sur leurs propres fonds. Les pays du Pacifique devront considérablement améliorer l’accès à des fonds mondiaux et régionaux concernant le changement climatique. |
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)