
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Résultat mathématique d’une étude sur l’intensité des pluies
21 février 2011
Une étude réalisée par des scientifiques d’Environnement Canada suggère que les pluies diluviennes et les inondations catastrophiques des dernières années en Amérique du Nord, en Europe et en Eurasie sont la conséquence du changement climatique déclenché et amplifié par les activités humaines. Les travaux ont été publiés jeudi dans la revue ’Nature’.
Pour la première fois, un lien entre les activités humaines et un phénomène climatique extrême est prouvé de façon mathématique. Le point de départ est la mesure des précipitations en Europe, Asie et Amérique du Nord au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.
Il s’avère qu’au fil du temps, les pluies sont de plus en plus violentes, car elles comportent davantage d’eau. L’élément qui a varié au cours de cette période est le niveau des émissions de gaz à effet de serre. Il n’a cessé d’augmenter, tout comme la température moyenne de la Terre.
Or, dans ce cas, une atmosphère plus chaude contient davantage de vapeur d’eau. Cela augmente alors le volume des pluies.
À cela s’ajoute une hausse du risque. Là où une pluie torrentielle était observée tous les 20 ans, la fréquence pourrait être doublée : une tous les 10 ans.
Le résultat de cette étude relance à nouveau les questions de l’adaptation au changement climatique. Car si la fréquence des pluies torrentielles double, qu’en sera-t-il pour les cyclones ? L’Australie et Madagascar ont été sévèrement touchés par des vents dépassant largement 200 kilomètres. Quelle maison dans notre île peut résister à pareil phénomène ?
Comment protéger la totalité de la population des conséquences de pluies diluviennes ?
Préparer notre pays à faire face à ces phénomènes, c’est le sens de la proposition de l’Alliance au Grenelle de l’adaptation. C’est en effet dès maintenant qu’il est important d’agir. Il faut en effet à tout prix éviter de perdre du temps face à la crise climatique, cela ne fera qu’augmenter le coût des travaux, et retarder la mise à l’abri de la population.
Un réseau intercontinental d’ordinateurs
Pour créer des modèles et les comparer à la réalité, les scientifiques doivent tenir compte de la faiblesse relative en calcul des ordinateurs.
Pour tenter de s’affranchir de cette contrainte, un projet vise à utiliser la puissance des réseaux sociaux. Il s’agit de climateprediction.net. Sur la base du volontariat, il donne la possibilité à un internaute de mettre à disposition des scientifiques une partie de la puissance de son ordinateur. En multipliant les calculateurs, il devient alors possible d’arriver à des résultats dans un temps raisonnable. C’est ainsi qu’a été fait le lien entre le changement climatique et le volume des pluies en Angleterre dans le troisième trimestre 2000.
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Messages
21 février 2011, 10:54, par NAA Paul
"La ou les causes et l’effet"
Comme vous le dite très bien :
L’élément qui a varié au cours de cette période est le niveau des émissions de gaz à effet de serre. Il n’a cessé d’augmenter, tout comme la température moyenne de la Terre.
Or , puisque l’on parle mathématique , il y a donc une variable Température et une autre Gaz à effet de serre . Il se fait que lorsqu’on regarde ces deux courbes de variation en fonction du temps on observe un "déphasage " entre les deux . Les variations de l’une précédent celles de l’autre , or dans ce cas ce sont les varations de Température qui sont en avance de phase par rapport à celles des Gaz à effet de serre , ce serait donc la variation de Température qui déterminerait celle des Gaz à effet de serre dont , de loin , le plus important est la vapeur d’eau . En conclusion : il fait plus chaud , de l’eau s’évapore au niveau des Océans qui par ailleurs relarguent aussi du Gaz carbonique ,cette vapeur d’eau , à la faveur d’activité de rayonnements d’origine cosmique , engendre des gouttelettes d’eau et de là se forment des nuages qui alimentent les précipitations .
22 février 2011, 12:57, par jipebe29
La période 1951-1979 a été plus froide que la période 1980-1998. Puis, depuis 1999, la température moyenne globale est stable.
Sortir une statistique qui n’est pas globale, et en déduire que cela prouve le RCA n’est pas significatif. En effet, si ces pluies intenses ont été aussi nombreuses et intenses sur ces deux périodes, alors cela prouve que le léger réchauffement sur la période 1980-1998 n’est en aucun responsable de l’augmentation de ces pluies intenses, et faire une corrélation avec le RCA n’est pas justifié.
Par ailleurs, les précipitations sont essentiellement liées aux régions et à leurs climats particuliers, et faire une demi-globalisation statistique, sans chercher les causes locales, ne me paraît pas raisonnable. En outre, citer deux évènements récents, qui sont des phénomènes météorologiques pouvant s’expliquer sans faire appel au dogme du RCA, n’apporte rien au débat, sachant qu’ils se sont produits alors que la température moyenne globale est stable depuis 1999.
J’ajoute que je suis surpris que les médias ne diffusent que les publications allant dans le sens du dogme du RCA (réchauffement climatique anthropique) et jamais celles qui le mettent à mal.
L’objectivité n’est visiblement pas de mise dès qu’il s’agit du dogme du Réchauffement Climatique Anthropique.