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Conséquence d’un modèle à bout de souffle
28 juin 2010
Les espèces migratrices comme les tortues et les baleines sont extrêmement vulnérables aux changements climatiques, selon les résultats préliminaires d’un prochain rapport du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) intitulé : Vulnérabilité des espèces migratrices au changement climatique.
Une catastrophe pour les espèces migratrice, voici une des conséquences du changement climatique. C’est ce qu’indiquent les résultats préliminaires du rapport "Vulnérabilité des espèces migratrices au changement climatique". Ce document, ainsi que les actions qui doivent être prises pour éviter une catastrophe pour ces espèces migratrices seront ont été débattues mercredi, lors d’une série de conférences à l’occasion du lancement du nouveau livre du journaliste Stanley Johns, écologiste et Ambassadeur pour la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS), et de son co-auteur, Robert Vagg.
Les recherches menées par la Société Zoologique de Londres (ZSL) pour le compte de la Convention du PNUE sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (UNEP/CMS) montre que même les changements les plus subtils des conditions environnementales causés par le changement climatique pourraient avoir des conséquences catastrophiques pour les animaux migrateurs.
Les tortues marines concernées
La Secrétaire exécutif de la CMS, Elizabeth Maruma Mrema a déclaré : « Les espèces migratrices sont particulièrement menacées par le changement climatique car ils dépendent de différents habitats pour se reproduire, se nourrir et se reposer. Les conclusions de ce rapport ont pour but de faciliter les interventions de la Convention pour aider les espèces migratrices dans leur adaptation au changement climatique au niveau mondial. »
Parmi les espèces qui pourraient être les plus touchées on distingue les tortues caouanne, qui, souvent, migrent au travers des eaux britanniques. Les risques auxquels ces tortues font face, sont la raréfaction des plages favorables à la nidification à cause de l’élévation du niveau des mers, et l’élévation des températures qui pourrait causer la féminisation de populations entières, ce qui entrainerait la disparition des individus males de l’espèce.
Les tortues vertes, les tortues imbriquées et les tortues luths ainsi que la baleine bleue, lamantin ouest africain et le poisson-chat géant sont également identifiées comme des espèces à haut risque de disparition face au changement climatique.
La gestionnaire du projet de la Société Zoologique de Londres, Aylin McNamara, qui a mené les recherches pour le PNUE/CMS, a déclaré : « L’augmentation des températures, les changements dans les taux précipitations, l’élévation du niveau de la mer, l’acidification des océans, les changements dans les courants océaniques et les phénomènes météorologiques extrêmes affecteront tous les populations d’espèces migratoires. »
Le danger c’est maintenant
« Des efforts internationaux sont essentiels pour soutenir la conservation de ces espèces au delà des frontières nationales et pour lutter contre le changement climatique », ajoute Aylin McNamara.
Elle a également indiqué que « cette évaluation de la vulnérabilité des espèces nous indique l’ordre probable dans lequel ces espèces vont disparaître. Si la situation actuelle persiste et si les émissions de CO2 restent au même seuil, il est difficile d’imaginer comment même une seule de ces espèces serait capable de survivre. Voici à quel point la situation est grave. "
Pendant ce temps, Stanley Johnson, l’auteur du livre : Survival : Saving Endangered Migratory Species, a déclaré, « j’ai eu le privilège d’avoir pu servir d’Ambassadeur pour la CMS durant ces cinq dernières années. La CMS effectue un travail essentiel dans la protection des espèces migratrices menacées. Robert Vagg, co auteur du livre, et moi-même donneront toutes les redevances issues de nos droits d’auteurs au PNUE/CMS pour les aider dans cette tâche importante. »
Ils seront rejoints dans cette initiative par Elizabeth Mrema Maruma, et Paul Kelly-Pearce, le conservateur en chef à la Société zoologique de Londres (ZSL) leader de la société sur les questions concernant le changement climatique.
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