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Selon la FAO
27 septembre 2018
Selon un nouveau rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), alors que le changement climatique est appelé à modifier significativement la capacité de nombreuses régions du monde à produire de la nourriture, le commerce international de produits agricoles devrait contribuer de manière plus importante à nourrir la planète et à faire face aux crises alimentaires liées au climat.
D’après le rapport sur la Situation des marchés des produits agricoles 2018, les règles du commerce international établies sous l’égide de l’OMC et des mécanismes plus récents créés dans le cadre de l’Accord de Paris sur le climat, dont le but est de lutter contre le changement climatique, peuvent s’appuyer mutuellement. Toujours selon le rapport, pour parvenir à cela, les politiques nationales agricoles et commerciales doivent être réajustées afin de permettre au marché mondial de devenir un pilier de la sécurité alimentaire et un outil qui facilitera l’adaptation au changement climatique.
Le changement climatique affectera l’agriculture mondiale de manière inégale, en améliorant par exemple les conditions dans certains endroits et en ayant des répercussions négatives dans d’autres - certains s’en sortiront donc gagnants, d’autres non.
La production alimentaire des pays situés à basse latitude - nombre d’entre eux souffrant déjà de pauvreté, d’insécurité alimentaire et de malnutrition - sera la plus durement touchée. Les régions avec des climats tempérés, d’un autre côté, pourraient constater des répercussions positives car le climat plus chaud stimulera la production agricole.
Selon le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva, afin d’empêcher que les écarts économiques et les écarts en matière de sécurité alimentaire entre les pays développés et les pays en développement se creusent, nous devons nous assurer que l’évolution et le développement du commerce agricole soient équitables et œuvrent à éradiquer la faim, l’insécurité alimentaire et la malnutrition.
Dans l’introduction au rapport, il explique que le commerce international est capable de stabiliser les marchés et de redistribuer la nourriture des régions excédentaires vers les régions déficitaires, aidant ainsi les pays à s’adapter au changement climatique et à contribuer à la sécurité alimentaire.
"L’impact inégal du changement climatique à travers le monde et ses conséquences sur le commerce agricole, en particulier dans les pays en développement, souligne la nécessité d’adopter une approche équilibrée lorsqu’il s’agit d’élaborer les politiques, ce qui devrait améliorer le rôle adaptatif du commerce tout en soutenant les personnes les plus vulnérables », a indiqué M. José Graziano da Silva. « Pour y parvenir, des mesures politiques de grande envergure sont nécessaires. Des politiques commerciales qui favorisent un bon fonctionnement des marchés mondiaux associées à des mesures nationales intelligentes face au climat, des investissements et des programmes de protection sociale sont également nécessaires », a ajouté le directeur général de la FAO.
De nombreux pays utilisent déjà les marchés internationaux comme source de nourriture pour faire face à leur déficit, soit en raison des coûts élevés de production agricole (par exemple dans les pays avec des ressources en eau et en terres limitées), soit lorsque le climat ou les autres catastrophes naturelles affaiblissent la production alimentaire nationale.
Par exemple, au Bangladesh, en 2017, le gouvernement a considérablement réduit les droits de douane sur le riz afin d’augmenter les importations et de stabiliser le marché national, après que de graves inondations aient provoqué une hausse de plus de trente pour cent du prix au détail de la céréale de base. De même, l’Afrique du Sud - pays traditionnellement producteur et exportateur net de maïs - a récemment augmenté les importations pour atténuer les effets de plusieurs sécheresses consécutives.
En général, le rapport de la FAO indique que des marchés alimentaires internationaux ouverts, prévisibles et équitables sont importants afin de permettre au commerce de contribuer à la sécurité alimentaire et aux efforts d’adaptation au changement climatique.
Néanmoins, si des marchés mieux intégrés permettront de renforcer le potentiel d’adaptation du commerce face au changement climatique pour des pays dépendant déjà fortement des importations alimentaires, cela aurait également pour conséquence d’aggraver cette dépendance. D’où l’importance, selon le rapport, de reconsidérer les priorités et objectifs nationaux.
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