
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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9 août 2007
Le changement climatique nuira vraisemblablement à la production vivrière du monde en développement, tandis que les pays industrialisés pourraient enregistrer des gains de production, a déclaré le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Jacques Diouf, lors de la Conférence de la Fondation de recherche M.S. Swaminathan à Chennai, en Inde.
« Le rendement potentiel est susceptible d’augmenter aux plus hautes latitudes, selon les cultures, en cas d’accroissement moyen de la température de la planète de 1 à 3°C, puis de diminuer ensuite », a-t-il indiqué.
« En revanche, aux plus faibles latitudes, en particulier dans les régions tropicales aux sécheresses saisonnières, il reculera probablement, y compris en présence de légères augmentations de température, ce qui accentuerait le risque de faim ».
L’augmentation de la fréquence des sécheresses et des inondations aurait des répercussions négatives sur la production locale, en particulier dans les secteurs de subsistance à faible latitude, a ajouté Jacques Diouf.
« L’agriculture pluviale dans les zones marginales des régions semi-arides et subhumides est la plus à risque », a-t-il expliqué. « L’Inde pourrait perdre 125 millions de tonnes de céréales non irriguées - soit l’équivalent de 18% de sa production totale ».
Les impacts du changement climatique sur les forêts et sur les populations tributaires des forêts sont déjà manifestes avec la multiplication des feux de forêt et des foyers de ravageurs et de maladies.
Selon Jacques Diouf, une adaptation au changement climatique sera nécessaire dans un grand nombre d’écosystèmes, y compris les agro-écosystèmes (cultures, élevages et herbages), les forêts et les terres boisées, les eaux continentales et les écosystèmes côtiers et marins.
La science et la technologie devront être le fer de lance de la production agricole au cours des 30 prochaines années, à un rythme plus soutenu que ne l’a fait la Révolution Verte durant les 3 dernières décennies, a affirmé le Directeur de la FAO.
« L’exploitation des nouvelles biotechnologies, et notamment la culture in vitro, le transfert d’embryons et l’utilisation de marqueurs ADN peut compléter les approches classiques de sélection, en accroissant les niveaux de rendement et l’efficacité d’utilisation des intrants, en réduisant les risques et en améliorant la qualité nutritionnelle », a-t-il poursuivi.
Il a cependant souligné que la plupart des plantes génétiquement modifiées cultivées aujourd’hui ont été conçues pour leur tolérance aux herbicides et leur résistance aux parasites. Mais les cultures OGM présentant des traits précieux pour les agriculteurs pauvres, en particulier face au changement climatique - tels que la résistance à la sécheresse, aux températures extrêmes, à l’acidité et à la salinité du sol - ne sont pas encore une réalité.
« Je ne me lasserai pas de réaffirmer la nécessité d’affronter également les besoins des agriculteurs pauvres dans les zones pluviales et sur les terres marginales », a déclaré Jacques Diouf.
« Veiller à ce que les nouvelles biotechnologies contribuent à ce but, en tenant pleinement compte des considérations de biosécurité, de socio-économie et d’éthique liées à l’utilisation de certaines de ces technologies, demeure un défi pour toute la communauté scientifique », a-t-il estimé.
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