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Concentration de gaz à effet de serre sans précédent : l’urgence de changer de cap
7 novembre 2013
Il n’y a jamais eu autant de gaz à effet de serre dans l’atmosphère depuis qu’ils sont mesurés. Responsables du changement climatique, ils sont le résultat de la pollution par les transports, et les centrales thermiques. Pour le CO2, cela atteint 393 ppm, alors qu’il faut redescendre à 350 ppm pour éviter la catastrophe. Voici les précisions de l’Organisation météorologique mondiale.
Le Bulletin de l’Organisation météorologique mondiale sur les gaz à effet de serre révèle que le forçage radiatif de l’atmosphère par les gaz à effet de serre, qui induit un réchauffement du système climatique, s’est accru de 32% entre 1990 et 2012 à cause du dioxyde de carbone et d’autres gaz persistants qui retiennent la chaleur, tels le méthane et le protoxyde d’azote.
Le dioxyde de carbone (CO2), dû principalement aux émissions liées aux combustibles fossiles, est responsable de 80% de cette progression. Selon le Bulletin de l’OMM sur les gaz à effet de serre, la hausse de CO2 survenue entre 2011 et 2012 est supérieure au taux moyen d’accroissement des dix dernières années.
Depuis le début de l’ère industrielle, en 1750, la concentration moyenne de CO2 dans l’atmosphère du globe a augmenté de 41%, celle du méthane de 160% et celle du protoxyde d’azote de 20%.
Les processus qui se déroulent dans l’atmosphère ne sont qu’un aspect des changements en cours. La moitié environ du CO2 rejeté par les activités humaines demeure dans l’atmosphère, le reste est absorbé par la biosphère et par les océans.
« Les observations provenant du vaste réseau de la Veille de l’atmosphère globale de l’OMM montrent une fois encore que les gaz d’origine anthropique qui retiennent la chaleur ont perturbé l’équilibre naturel de l’atmosphère terrestre et contribuent largement au changement climatique », a déclaré le Secrétaire général de l’OMM, Michel Jarraud.
« Dans son cinquième Rapport d’évaluation paru récemment, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) souligne que les concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone, de méthane et de protoxyde d’azote ont atteint des niveaux sans précédent depuis au moins 800.000 ans », a-t-il rappelé.
M. Jarraud a poursuivi : « C’est pour cela que notre climat change, que les conditions météorologiques sont plus extrêmes, que les inlandsis et les glaciers fondent et que le niveau de la mer s’élève ».
« Selon le GIEC, si nous poursuivons dans la même voie, la température moyenne du globe à la fin du siècle pourrait excéder de 4,6 degrés ce qu’elle était avant l’ère industrielle – et même plus dans certaines régions. Les conséquences seraient catastrophiques.
« Il faut réduire de manière sensible et prolongée les émissions de gaz à effet de serre pour limiter le changement climatique. Nous devons agir aujourd’hui pour ne pas mettre en péril l’avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et de bien d’autres générations encore. Le temps joue contre nous. »
Le Bulletin de l’OMM sur les gaz à effet de serre rend compte des concentrations – et non des émissions – de ces gaz dans l’atmosphère. Par émissions, on entend les quantités de gaz qui pénètrent dans l’atmosphère et, par concentrations, celles qui y restent à la faveur des interactions complexes qui se produisent entre l’atmosphère, la biosphère et les océans.
Le dioxyde de carbone est le principal gaz à effet de serre rejeté par les activités humaines, tels la combustion de matières fossiles ou le déboisement. D’après le Bulletin de l’OMM sur les gaz à effet de serre, la quantité de CO2 présent dans l’atmosphère du globe a atteint 393,1 parties par million en 2012, ce qui correspond à 141% du niveau préindustriel (278 parties par million).
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