
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Réunion de Yokohama
28 mars 2014, par
Trois cents chercheurs de 195 pays sont réunis aujourd’hui à Yokohama, au Japon, afin de débattre du second volet du cinquième rapport d’évaluation des conséquences du réchauffement. Un constat réaffirmé par tous les chercheurs : les changements climatiques sont l’un des défis du 21ème siècle.
A la veille de la publication officielle du rapport, des extraits ont été révélées aux médias. Ils disent notamment qu’à la fin du siècle, « des centaines de millions de personnes seront contraintes de se déplacer à cause des inondations le long des côtes et de la montée du niveau de la mer. La majorité des personnes affectées seront en Asie (Est, Sud-Est et Sud) », d’après le quotidien The Independant.
Les scientifiques auteurs de ce rapport, qui sera rendu public le 31 mars, avertissent l’opinion publique, que « les conséquences à venir du changement climatique sont de nature à déstabiliser une grande partie des équilibres actuels ». Des extraits de la version définitive du rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) attestent que « chaque degré Celsius supplémentaire, la disponibilité des ressources en eau potable se trouverait diminuée de 20% pour l’équivalent de 7% de la population mondiale », a indiqué l’Agence France Presse.
Les risques d’inondations, notamment en Europe et en Asie, ont sensiblement augmenté à cause de la hausse des émissions de gaz à effet de serre (GES). De plus, la production de céréales (blé, riz, maïs) pourrait baisser de 2% par décennie, alors que la demande risque de s’élever de 14% d’ici à 2050, en raison de la hausse démographique.
D’autres phénomènes résultent des catastrophes naturelles, comme la pauvreté, la migration et la faim qui sont aussi des facteurs de conflits, car « ils attisent la concurrence sur fond de diminution de ressources », ont indiqué certains médias.
Ce rapport d’une trentaine de page sera publié à Yokohama, il s’agit d’une synthèse appelée « résumé aux décideurs », qui devra être approuvée par les 195 pays, membre des Nations Unies. « Il est très important d’avoir cet accord sur le constat scientifique pour donner une chance à la négociation », a expliqué à l’AFP, Sylvie Joussaume, climatologue au CNRS français et membre du GIEC, groupe qui reçut le Prix Nobel de la Paix en 2007. Cependant, les défis à venir restent immenses, alors que le climat se détériore de plus en plus, avec par exemple les smog au dessus des principales villes de Chine et d’Europe.
« En fait, on regarde comment combiner, adapter, transformer la société, et c’est un effort qui peut vraiment nous aider à bâtir un monde mieux préparé au changement climatique, un monde meilleur tout court », a explique Chris Field, associé aux travaux et membre de l’Institut américain Carnegie, cité par l’AFP.
Pour les experts, l’aggravation des évènements météorologiques extrêmes, le déclin de la survie des espèces animales et végétales, les diminutions des ressources agricoles, le manque d’eau, la propagation de la faim, l’évolution des maladies, et les déplacements de population sont les conséquences des changements climatiques.
Face à ces problématiques, les experts estiment qu’il devient urgent de changer de modèle de consommation mais aussi de système économique. L’Agenda 21 est une clé à ce changement de société, mais pour l’ensemble des acteurs concernés par les changements climatiques, les défis à venir demande un nouveau modèle de développement et un changement profond d’habitude de consommation. Il s’agit de changer les mentalités, afin de créer « une nouvelle civilisation », comme l’avait annoncé l’an dernier, le président de l’ONERC, Paul Vergès.
En plus de devoir penser un nouveau modèle de société, la communauté internationale doit parvenir, lors de la Conférence des Nations unies de 2015 à Paris, à un accord mondial et contraignant pour contenir le réchauffement à 2 degrés à l’horizon 2100 par rapport à l’ère préindustrielle. Ce seuil se situe au-delà de celui des scientifiques, qui attestent qu’il sera difficilement atteignable, si les choses ne changent pas dès à présent. Les émissions de GES, dues à 7% aux énergies fossiles continuent d’augmenter alors qu’il faudrait qu’elles diminuent pour ne pas dépasser les 2 degrés.
Pour l’organisation Greenpeace « le changement climatique dévaste déjà des nations, détruit déjà des vies et fait déjà des milliards de dollars de dégâts », raison pour laquelle, elle lance un « SOS ». Kaisa Kosonen, activiste de Greenpeace International, a expliqué que « cette crise ne connaît pas de frontières. Nous sommes au bord de l’abîme climatique : chaque tonne de pétrole, de charbon ou de gaz extraite nous en rapproche davantage. Mais on peut s’en sortir. Les énergies renouvelables ont progressé plus vite qu’escompté et sont prêtes à concurrencer notre vieux et polluant système énergétique ».
« Le message essentiel est : il faut choisir. Allons-nous continuer de voguer d’un désastre à l’autre, ou bien allons-nous prendre notre avenir en mains ? Nous sommes à la croisée des chemins et l’Histoire nous jugera sur les choix que nous allons faire maintenant », a-t-elle affirmé à l’AFP. De son côté, l’organisation non-gouvernementale Oxfam a averti mardi 25 que « le changement climatique pourrait faire reculer le combat contre la faim dans le monde de plusieurs décennies ».
Céline Tabou
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