Marche réunionnaise pour le climat et la biodiversité

Le GIEC et l’ONERC à la conférence-débat sur le changement climatique aujourd’hui à l’Université

4 mars 2023, par Manuel Marchal

Le second temps fort de la Marche réunionnaise pour le climat et la biodiversité aura lieu ce samedi 4 mars à 16 heures à l’Université de La Réunion avec la conférence-débat où interviendront notamment des représentants du GIEC et de l’ONERC.

Les organisateurs de la Marche réunionnaise pour le Climat et la Biodiversité et leurs partenaires donnent rendez-vous ce 4 mars à 16 heures à l’amphithéâtre bioclimatique du Campus du Moufia de l’Université de La Réunion à Saint-Denis.
S’y tiendra toute à l’heure une conférence-débat sur le changement climatique avec des spécialistes de niveau international de ce thème.

Y participeront en visioconférence :
Nadia Maïzi. Elle est auteure principale du 6e rapport du GIEC.
Laurent Michel, directeur général de l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC).
Et en présentiel :
François Garde, directeur de l’école d’ingénieur ESIROI.
Le Conseil de la Culture, de l’Éducation et de l’Environnement présentera une synthèse de son rapport d’étape « La Réunion à l’horizon 2040 : une île face aux défis du changement climatique. État des lieux et politique d’adaptation ».

M.M.

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Messages

  • Bonne initiative, en espérant que l’on abordera enfin, les énergies renouvelables qui sont à la fois locales, donc sans besoin d’être importées comme en ce moment le charbon et le fioul, gratuites car offertes par dame Nature et inépuisables à notre échelle. Il est plus que grand temps d’agir, et ne pas oublier que parmi elles, se trouve la géothermie, car n’oublions pas que la Réunion, c’est deux volcans, dont un actif qui offrira généreusement ce qu’il faudra comme calories pour chauffer l’eau des turbines d’alternateurs, pour ensuite alimenter nos foyers, bureaux et usines sans oublier le prochain train, TER électrique cette fois-ci lui aussi, créateur d’emplois durables, pour le créer, l’exploiter et le maintenir en état. Reliant les communes de Ste Rose à St Joseph, pour le plus grand plaisir de tous, marchandises comprises, celui de notre planète aussi finalement, dans le fond, au passage. Et ce ne sont pas les gramounes nostalgiques du train lontan qui diront le contraire, attention au départ, fermeture des portes, tchou tchou... Arthur.


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