
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Une année de budget carbone épuisée en 10 jours
10 février
Une analyse d’Oxfam révèle que les 1 % les plus riches de la planète épuisent leur part annuelle du budget carbone en seulement 10 jours, c’est-à-dire entre le 1er et le 10 janvier, tandis qu’il faudrait plus de trois ans à la moitié la plus pauvre de l’humanité pour atteindre ce seuil. Ces inégalités alarmantes renforcent l’urgence d’une action politique pour réguler les émissions excessives des ultra-riches et financer la transition écologique.
Chaque année, la question climatique met en lumière une réalité : les inégalités écologiques sont aussi brutales que les inégalités économiques. Une analyse publiée par Oxfam montre que les 1 % les plus riches de la population mondiale brûlent en seulement dix jours la part qui leur reviendrait du budget carbone annuel si les émissions étaient équitablement réparties. Pendant ce temps, une personne parmi les 50 % les plus pauvres mettrait plus de 1 000 jours à atteindre le même seuil.
L’ONG a dénoncé cette situation à l’occasion de ce qu’elle appelle la « journée mondiale des pollutocrates », une manière de pointer du doigt la responsabilité écrasante des ultra-riches dans la crise climatique. « L’avenir de notre planète ne tient qu’à un fil. Pourtant, les ultra-riches continuent à anéantir les perspectives d’avenir de l’humanité avec leur train de vie luxueux, leur portefeuille d’actions polluant et leur influence politique néfaste », dénonce Nafkote Dabi, responsable du plaidoyer climatique chez Oxfam International.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les 1 % les plus riches émettent plus de deux fois plus de carbone que la moitié la plus pauvre de l’humanité. Depuis 1990, leurs émissions excessives ont engendré des dégâts colossaux : des milliards de dollars de pertes économiques, des récoltes anéanties et des millions de décès prématurés liés à la chaleur.
Les projections sont tout aussi alarmantes. D’ici 2050, les émissions des 1 % les plus riches devraient causer la perte de récoltes pouvant nourrir au moins 10 millions de personnes par an en Asie de l’Est et du Sud. Les pays à revenu faible et intermédiaire paient le prix fort : ils subissent des pertes économiques trois fois supérieures aux financements climatiques reçus des pays riches.
Face à cette crise, Oxfam appelle à des mesures radicales. L’ONG préconise la taxation des plus riches, la réduction drastique de leurs émissions et l’interdiction des articles de luxe superflus comme les jets privés et les superyachts. « Les États ne doivent plus céder aux caprices des plus riches. Les pollueurs doivent payer pour les maux qu’ils infligent à notre planète », insiste Nafkote Dabi.
Par ailleurs, Oxfam rappelle que les engagements financiers des pays riches restent largement insuffisants. Alors qu’ils ont promis 300 milliards de dollars par an pour aider les pays du Sud à faire face aux conséquences climatiques, ils leur devraient en réalité près de 5 000 milliards de dollars en réparations et dettes climatiques.
Le rapport souligne également que les milliardaires sont une véritable catastrophe climatique à eux seuls. En une heure et demie, les 50 milliardaires les plus riches émettent plus de carbone que la moyenne d’un individu sur toute sa vie.
Les solutions sont connues : impôts permanents sur la fortune et le revenu des plus riches, taxes dissuasives sur les produits à forte empreinte carbone, et une réglementation stricte des entreprises et fonds d’investissement. Mais sans volonté politique forte, les inégalités climatiques continueront d’alimenter un cercle vicieux d’injustice et de destruction environnementale.
Oxfam met en garde : si les 1 % les plus riches ne réduisent pas leurs émissions de 97 % d’ici 2030, l’objectif de limiter le réchauffement mondial à 1,5 °C deviendra inatteignable. Une minorité ultra-privilégiée menace ainsi l’avenir de milliards d’individus.
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