20% de la population mondiale produit 70% de la pollution au CO2

Les anciennes puissances coloniales au pied du mur de leurs responsabilités

30 novembre 2012

La Conférence de Doha continue de faire apparaître la difficulté de faire admettre le principe de la responsabilité commune mais différenciée.

Les pays en développement qui participent à la conférence des Nations Unies sur le climat sont tous d’accord pour dire que la conclusion d’un accord sur la 2e phase du Protocole de Kyoto reste la priorité des priorités de la conférence de Doha, et que certains pays développés doivent agir afin de faire disparaître des obstacles aux négociations, au lieu de renvoyer aux autres leurs responsabilités en matière d’émission de matières polluantes.

Les divergences restant nombreuses entre les pays développés, entre les pays développés et les pays en voie développement, les résultats de la conférence de Doha sont très incertains quant à l’obtention ou non d’un consensus sur la deuxième phase du Protocole de Kyoto.

L’organisation africaine de la société civile reproche aux pays développés qui ne représentent que 20% de la population mondiale de contribuer à hauteur de 70% au volume global des émissions du carbone. Alors que l’Afrique, avec son milliard d’habitants, représente moins de 4% de ces émissions.

Conférence de Doha sur le climat

Signaler un contenu

Un message, un commentaire ?


Témoignages - 80e année


+ Lus