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Changement climatique
30 septembre 2013
Il est impossible de taxer les rapports du GIEC d’exagération, bien au contraire. C’est ce qu’indique un article du ’Monde’ relatant les travaux d’un groupe de scientifique publiés dans la revue ’Global Environmental Change’.
Le rapport du Groupe intergouvernemental d’expert sur le climat (GIEC) a été dévoilé vendredi dernier. Les prévisions sont très inquiétantes. Si le monde continue sa consommation effrénée d’énergies fossiles, la température augmentera de plus de 4 degrés d’ici 2100. Mais aussi alarmantes soient-elles, ces conclusions sont établies de manière la plus factuelle possible. Ce qui amène à un résultat contraire de l’exagération, la sous-estimation.
D’après "Le Monde" qui reprend les résultats d’un article publié dans Global Environmental Change, « les premières prévisions du GIEC anticipaient ainsi, à moyen terme, une augmentation moyenne du niveau des mers d’environ 2 mm par an. Cette élévation se fait aujourd’hui au rythme d’environ 3,2 mm par an, "plus de 50% au-dessus des prévisions du GIEC" , notent les auteurs. De même, le quatrième rapport, rendu en 2007, avait présenté des estimations d’élévation du niveau marin à l’horizon 2100 qui ont dû être revues à la hausse dans le cinquième et dernier rapport. Une part de la communauté scientifique les juge encore trop faibles ».
Ils notent que le GIEC n’intègre pas dans ces prévisions les gaz à effet de serre stockés dans le sol gelé des zones polaires. Ces gaz sont une véritable bombe à retardement, l’estimation du volume retenu dans le sol gelé est égale à deux fois le CO2 contenu actuellement dans l’atmosphère.
Sur les raisons de cette approche qui tend à sous-estimer les effets du réchauffement, les chercheurs estiment que « L’implication des gouvernements dans le processus du GIEC y contribue sans doute », précise "le Monde". « Cependant, d’autres éléments suggèrent que les communautés scientifiques sont, en elles-mêmes, très conservatrices. Dans leur étude, les auteurs évoquent même un "principe de moindre étonnement" , selon lequel une hypothèse ou un résultat a plus de chances d’être accepté s’il ne heurte pas par ses aspects spectaculaires ou dramatiques » .
Voilà qui signifie que tous ceux qui taxent le GIEC d’exagération sont totalement à l’opposé de la réalité. Ce qu’affirme le GIEC est donc le minimum auquel il faut s’attendre. D’où la nécessité de renforcer encore la mobilisation pour faire face aux effets du changement climatique.
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