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Illustration d’un rapport de la Banque mondiale — 1 —
24 juillet 2013
Le 19 juin dernier, la Banque mondiale avait publié un rapport sur le climat intitulé "Baissons la chaleur : phénomènes climatiques extrêmes, impacts régionaux et plaidoyer en faveur de l’adaptation".
Il évalue l’impact d’une hausse de la température de 2 à 4°C en Afrique, Asie du Sud et Asie du Sud-Est.
Ce document décrit les risques liés à l’agriculture et aux moyens de subsistance en Afrique subsaharienne et à la fluctuation des ressources en eau en Asie du Sud, ainsi que les effets dévastateurs qu’aurait l’élévation du niveau de la mer sur les récifs coralliens en Asie du Sud-Est.
Le rapport insiste sur le fait que les populations les plus pauvres seront les plus vulnérables face au changement climatique.
Pour illustrer ce rapport, la Banque mondiale a publié une infographie, voici la première reproduction.
(à suivre)
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Jim Yong Kim, président de la Banque mondiale
« Il est urgent d’agir »
« Ce nouveau rapport décrit un scénario inquiétant pour les jours et les années à venir et qui risque d’être le nôtre », a déclaré Jim Yong Kim, Président du Groupe de la Banque mondiale. « Les scientifiques nous disent que si la planète se réchauffe de 2°C — un réchauffement qui pourrait être atteint en 20 à 30 années —, des pénuries généralisées de produits alimentaires, des vagues de chaleur sans précédent et des cyclones plus intenses se produiront. À court terme, le changement climatique déjà en cours pourrait peser plus encore sur les bidonvilles et porter de graves préjudices aux vies et aux espoirs d’individus et de familles n’ayant que très faiblement contribué au réchauffement de la température de la planète ».
« Ces changements annoncés pour les tropiques illustrent l’ampleur des difficultés qui vont finalement peser sur toutes les régions si nous n’arrivons pas à contrôler le réchauffement », a déclaré M. Kim. « Il est urgent d’agir, non seulement pour réduire les émissions des gaz à effet de serre, mais aussi pour aider les pays à se préparer à de graves extrêmes climatiques et météorologiques ».
« Je ne crois pas que les populations pauvres soient condamnées à subir ce que les scientifiques prédisent dans ce rapport. En fait, je suis convaincu que nous pouvons réduire la pauvreté, même dans un monde mis au défi par le changement climatique ».
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