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Glissement de terrain mortel en Nouvelle-Calédonie
23 novembre 2016, par
En Nouvelle-Calédonie, de fortes pluies ont eu de dramatiques conséquences. Des glissements de terrain ont provoqué la mort de 4 personnes, 4 autres sont toujours portées disparues, et la catastrophe a fait plusieurs blessés. Face à ce phénomène, que se passerait-il à La Réunion où 200.000 Réunionnais vivent en effet dans des zones à risque ?
Les plans de prévention des risques naturels soulignent qu’un Réunionnais sur quatre vit dans une zone dangereuse, cela fait plus de 200.000 personnes. La Réunion est une île très montagneuse d’une superficie de 2.500 kilomètres carrés. La population se concentre dans quelques zones habitables, souvent aux pieds des versants. De plus, de nombreux responsables politiques et l’État ont réalisé des infrastructures risquées.
C’est le cas de la route construite en mer. Pourquoi défier l’océan pour se protéger des glissements de falaises ? N’avait-on rien à faire que de défier les eaux ?
La catastrophe de Nouvelle-Calédonie rappelle l’urgence de protéger la population de La Réunion des effets du climat. Des points sensibles sont connus, ce sont les ravines et les radiers qui les franchissent. En 2006, le cyclone Gamède a emporté le pont sur la rivière Saint-Etienne. À cette époque, Paul Vergès avait proposé la création d’un syndicat mixte chargé de l’éradication des radiers et de l’endiguement des ravines. À ce moment, la Région Réunion montrait l’exemple dans ce domaine. C’est ainsi que la route des Tamarins a permis la création d’une liaison « hors eau » entre l’Ouest et le Sud de La Réunion. Auparavant au Port, la commune avait réalisé l’endiguement de la rivière des Galets. Cela a permis de protéger la population de la violence des crues cycloniques, et donné accès à des terres qui étaient jusqu’alors inutilisables.
Les chantiers d’endiguement et de remplacement des radiers par des ponts sont malheureusement bien insuffisants pour répondre aux besoins de protection. Il faut reprendre le projet de voie ferroviaire, comme le Tram-train, et arrêter toute construction en mer. Un avertissement en vaut deux.
Autres aspects : si la catastrophe de Nouvelle-Calédonie arrive chez nous, ce seront les plus pauvres qui en subiront les conséquences les plus graves. Car, beaucoup n’ont pas les moyens de vivre dans une maison capable de résister a la puissance de l’eau et ne sont pas assurés contre ces dégâts.
Rappelons toujours que nous vivons dans la zone inter-tropicale où se concentrent les phénomènes naturels violents. Une prise de conscience doit conduire à faire de la protection de la population des effets du changement climatique une priorité Réunionnaise. La construction d’un Front réunionnais pour une Réunion nouvelle doit réunir toutes les personnes d’accord pour la sécurité des habitants.
M.M.
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Messages
23 novembre 2016, 20:16, par Arthur
En Nouvelle-Calédonie, il y a, il faut le savoir, une partie de la population d’orignie réunionnaise, environ 10% ce qui fait tout de même près de 25 000 personnes. Répartis sur l’ensemble du territoire. Tout comme aussi une communauté d’origine malgache, antillaise, wallisienne, futunienne, vanuataise, javanaise, métropolitaine ; les caldoches.
Un archipel à la même latitude que la Réunion, dans le même hémisphère ce qui signifie avec le même climat tropical austral. Le comble, c’est que là bas aussi, il y avait jadis un train ! Oublié lui aussi au profit du transport routier comme ailleurs hélas trop souvent. Un projet de tramway avait été proposé en 2008, si je ne me trompe pas par la candidate à la mairie de Nouméa qui a été élue à l’élection suivante. Espérons qu’elle pourra oser faire ce qu’elle avait proposé avec son équipe maintenant aux manettes de la ville. 120 000 habitants, comme environ à St Denis, encore unpoint commun avec la Réunion, et ce n’est pas le seul, il y en a d’autres. Vive le retour du train partout ! Le seuls journal local calédonien est "Les nouvelles Calédoniennes" à voir sur internet pour ceux qui souhaitent en savoir davantage sur la Nouvelle-Calédonie, Kanaky pour les kanaks.
23 novembre 2016, 22:50, par youssef bouterfas
comme tous les pays sous domination de ceux qui parlaient français par des français
le foncier est sous pression..par exemple chez les russes et américanisme ya pas ce model
culturel..chaque individus ou famille a le droit de construire un petit chez soit dite maison secondaire
on ne comprend pas les pays francophone ont des millions de km² alors pour installer un petit chez soit en pleine foret c’est interdit...voila si les gens ont leurs maisons secondaires ils pouvaient s’y réfugie dans les périodes difficiles..
donc comme si l’etat vous oblige et rester chez soit et se barricader pour affronter le pire l’essentiel tu ne dérange pas le fait accomplie la mise sous la maisons du patrimoine forestier et côtier..des fois ils pays francophones le font par réflexe et habitude et non plus par calcul des ex colons c’est une mauvaise habitudes qui s’est installé chez nous et qui perdure ..il faut faire bouger les choses bien sure dans un ordre et sous une lois qui cadre les logements secondaire ’’il ya devoirs qui suivent les droits a la propriété privé’’
souvent les pays francophone le font non pas pensée coloniale mais plus pat nature de jalousie
celui qui ne peut pas batire sa propre maison secondaire jalouse le riche qui fait mieux