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Barcelone ultime étape avant Copenhague
5 novembre 2009, par
À Barcelone, en Espagne, 4.000 représentants de 175 pays ont entamé depuis lundi des négociations concernant la lutte contre les changements climatiques. Cette table ronde de discussions vise à préparer la voie à un éventuel accord lors du sommet de Copenhague, au Danemark, qui se tiendra en décembre. Tous les participants s’accordent à dire que les discussions n’ont pas assez progressé depuis leur ouverture en 2007, date à laquelle le Groupe d’experts intergouvernementaux sur le climat (GIEC) a défini l’année 2015 comme date butoir de hausse des gaz à effet de serre pour éviter les pires scénarios pour la planète. Mais les pays en voie de développement regrettent le manque d’objectif clair de la part des pays riches.
Plusieurs pays ont déploré que les États-Unis, seul pays industrialisé à ne pas avoir ratifié le protocole de Kyoto, se présentent à Barcelone sans engagements précis sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).
« Il nous faut un objectif clair de la part des États-Unis à Copenhague. C’est une pièce essentielle du puzzle », a déclaré Yvo de Boer, directeur de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique.
Les pays riches responsable du réchauffement climatique…
Les délégués africains aux négociations de Barcelone, avaient suspendu lundi soir leur participation aux discussions, tant que les pays industrialisés n’annonceraient pas des engagements chiffrés de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre, "d’au moins 40%" en 2020 par rapport à 1990. Les pays africains ont accepté de reprendre mardi dernier les négociations sur l’avenir du Protocole de Kyoto, mais restent inquiètes du manque d’avancées à un mois de la conférence de Copenhague. L’Afrique a accepté de revenir à la table de négociation, tout en prévenant « qu’un échec demain à considérer les résultats souhaités nous conduirait à suspendre les discussions à nouveau », a souligné Ousman Jarju, délégué de la Gambie, au nom du Groupe Afrique.
Selon les pays africains, ce sont les pays riches qui sont responsables du réchauffement climatique et, par conséquent, ils doivent agir et être plus clairs. Ces pays affirment également que c’est le continent africain qui subit les effets du changement climatique.
Dès lundi, le Soudan au nom du G77 (130 pays en développement) et Grenade pour les petits États insulaires (AOSIS) ont réaffirmé la nécessité d’un « accord global légalement contraignant » comme l’est le protocole de Kyoto pour les pays industrialisés.
… tandis que les pays pauvres payent les conséquences
Le continent, responsable de 4% à peine des émissions mondiales de gaz à effet de serre, compte parmi les régions du monde les plus vulnérables au changement climatique qui se traduira pour lui par une extension de la désertification, des sécheresses et de graves pénuries d’eau et de récoltes.
Les pays en développement souhaitent que les pays les plus industrialisés réduisent leurs émissions de GES de 40% d’ici à 2020 par rapport à 1990. Pour leur part, les pays industrialisés proposent de réduire leurs émissions de GES de 11% à 15%, en moyenne. Aux États-Unis, le Sénat se penche actuellement sur un projet de loi qui réduirait les émissions américaines d’environ 7% d’ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990 ce qui est largement insuffisant.
"Le niveau d’ambition des pays développés est inacceptable (...) Nous devons envisager des objectifs et des chiffres ambitieux qui, du point de vue africain, devraient représenter une réduction de 40% au moins", selon les responsables africains.
C’est un coup de poing sur la table des pays africains pour que les pays industrialisés mettent leurs engagements sur la table.
Quant aux Européens, malgré les 20% de réduction des émissions claironnés, ils peinent à s’entendre sur l’aide aux pays pauvres. Le responsable de l’ONU en charge du dossier, Yvo de Boer, se veut malgré tout confiant :
“Copenhague est une étape du voyage. Il y aura d’autres négociations après Copenhague, même si c’est une réussite à 200%”.
L’Europe des 27 est d’accord sur un chiffre au moins. Les pays pauvres auront besoin de 100 milliards d’euros par an d’ici 2020 pour lutter contre le changement climatique et ses effets. Aux pays riches de se partager de la facture car ils sont aujourd’hui pleinement responsables du réchauffement climatique.
Sanjiv Dinama
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