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Pour limiter à deux degrés l’augmentation des températures
11 juillet 2015
Les scientifiques réunis hier lors d’une importante réunion internationale à Paris ont déclaré que l’humanité doit atteindre l’état de « zéro émissions » de gaz à effet de serre d’ici la fin de ce siècle pour maintenir la hausse de la température moyenne mondiale à 2 degrés Celsius maximum. Si les diviseurs n’avaient pas organisé la défaite de l’Alliance en 2010, La Réunion aurait atteint cet objectif avec 75 ans d’avance et aurait pu être un modèle d’inspiration pour le monde.
Dans une déclaration commune à la fin de la conférence Notre Avenir Commun Face au Changement Climatique, les scientifiques ont conclu que le monde avait besoin de parvenir à une vision à long terme de la neutralité climatique et de saisir les avantages évidents des énergies propres et du développement durable afin de rester en dessous de cette ligne de défense de 2 degrés contre les pires impacts du changement climatique.
Christiana Figueres, Secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, a accueilli leur déclaration de clôture et a commenté :
« Les plus éminents chercheurs du monde sur le climat viennent de souligner l’importance cruciale pour les nations de se concentrer sur un objectif à long terme – appelé « zéro émission » ou neutralité climatique. Selon ce consensus écrasant, Paris 2015 doit envoyer le signal sans équivoque que le monde se dirigera vers une baisse profonde et abrupte de la pollution due aux gaz à effet de serre d’ici la seconde moitié du siècle ».
L’appel des grands scientifiques se fait entendre à moins de cinq mois de la conférence de l’ONU sur le changement climatique à Paris, où les gouvernements devront aboutir à un nouvel accord universel sur le changement climatique. Ce dernier vise à mettre le monde sur la voie stable d’un pic précoce des émissions mondiales, suivi par un déclin très rapide amenant à l’objectif de réduction des émissions nettes à zéro.
La déclaration commune de la conférence indique :
« Étant donné que le réchauffement induit par le CO2 se poursuit pendant plusieurs siècles, toute limitation de celui-ci à une température maximale implique que les émissions de CO2 doivent finir par retomber à zéro. Il y a deux chances sur trois de pouvoir contenir le réchauffement à 2 degrés ou moins si on limite les émissions de CO2 à 900 milliards de tonnes, soit près de 20 fois la quantité émise pendant la seule année 2014. Pour limiter le réchauffement à 2 degrés, les émissions devront être nulles, voire négatives, à la fin du 21e siècle ».
Le président du Comité scientifique de la réunion de Paris, et directeur du Département d’écologie globale de l’Institut Carnegie (USA), Chris Field a déclaré :
« Nous entrons dans une ère post-carbone, où l’atténuation des changements climatiques et l’adaptation à leurs effets sont associés à d’autres objectifs pour construire un avenir durable ».
Laurence Tubiana, ambassadrice française pour les négociations de l’ONU sur le changement climatique, a ajouté :
« Les scientifiques travaillent avec de nombreux partenaires au développement de stratégies à long terme, à l’échelle des villes, des filières économiques comme l’agriculture, et des économies nationales, en s’attachant particulièrement à rendre les solutions opérationnelles. Nous avons besoin que la COP21 soit la réponse politique à ce travail et qu’elle montre que la transition vers une économie décarbonée et résiliente au changement climatique est non seulement nécessaire, mais qu’elle est aussi réalisable (politiquement, économiquement et technologiquement), et même pour aller plus loin, qu’elle est inévitable et déjà en cours ».
Lors de la conférence, l’économiste en chef de l’Agence internationale de l’énergie Fatih Birol a remarqué que non seulement les visions, mais les objectifs spécifiques seront critiques pour que les émetteurs de gaz à effet de serre comme le secteur de l’énergie se fixent des objectifs ambitieux, comprenant entre autres le pic des émissions d’ici à 2020.
Environ 2 000 scientifiques de près de 100 pays ont assisté à la conférence scientifique de Paris, qui a présenté des solutions basées sur des preuves concrètes pour à la fois réduire les émissions et bâtir des économies durables.
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14 juillet 2015, 06:54, par Maillot Joseph Luçay
L’autonomie énergétique mondiale n’est pas un rêve utopique . Les solutions pour produire de l’énergie propre et non polluante existent déjà , mais elles se heurtent à l’indifférence ou à l’inertie de certains responsables politiques et économiques qui ne veulent pas remettre en question ce qui existe déjà pour faire marche arrière malgré la menace mortelle qui pèse sur la terre .
En effet comment promouvoir ces nouvelles solutions quand on a investi des sommes colossales pour aller chercher du pétrole à des kilomètres de profondeur dans des endroits ou la nature est particulièrement difficile , comme en mer du nord ou sous les glaces des pôles ? Comment revenir en arrière quand on a construit d’immenses usines pour raffiner et transformer le pétrole brut et le gaz naturel en produits consommables ? Comment mettre à la casse les énormes tankers ou gaziers d’une capacité de plus d’un millions de tonnes pour les acheminer aux quatre coins du monde ? Comment arrêter les chaines des usines sur lesquelles sont fabriqués les 3 milliards de moteurs qui permettent aux 7,5 milliards d’êtres humains de continuer de vivre chaque jour une vie qu’ils n’ont pas forcément choisi mais qui leur a été léguée par leur ascendants .
L’une des taches les plus difficiles à laquelle sont confrontés ceux qui luttent pour un monde plus propre , ce n’est pas de mobiliser les gens et de leur faire prendre conscience du danger que nous courrons tous à laisser la planète se réchauffer , mais c’est celle d’obliger la petite minorité de ceux qui sont aux leviers de commande de faire machine arrière et d’accepter de sacrifier les sommes colossales qu’ils ont investies dans les différents rouages de notre société de consommation .
Avec le poids et la force d’inertie du conservatisme , nous risquons de prendre trop de temps pour arrêter ces rouages mortels et créer une nouvelle terre plus propre où la vie pourra s’épanouir sans danger .
Après la prise de conscience du danger il faut maintenant passer à l’action et agir vite pour que les milliers de solutions qui pourraient nous permettre de vivre sans polluer notre terre soient mises en application le plus rapidement possible . J’ai déjà cité dans une intervention précédentes certaines actions que l’on pourrait mener en amont ou en aval du réchauffement climatique pour arrêter la menace de mort qui pèse sur notre planète , mais je voudrais aujourd’hui dans cette intervention signaler une des solutions que je propose moi même pour augmenter les énergies renouvelables.
L’une de ces solutions pourrait consister à produire industriellement ou artisanalement et à commercialiser très rapidement une nouvelle turbine hydraulique que j’ai inventée et pour laquelle j’ai obtenu un brevet français délivré par l’INPI sous le N° 1256419 ainsi qu’un brevet européen délivré par l’OEB sous le N°2682595, et dont la protection est assurée par une taxe versée à ces deux organismes .
Mon invention s’intitule " dispositif de production d’énergie électrique d’un circuit de transport de fluide " . Elle consiste à installer une roue reliée à des alternateurs dans une conduite permettant la circulation d’un fluide sous pression. En circulant dans la conduite le fluide entrainerait la roue tout en conservant la plus grande partie de son énergie cinétique , si bien que l’on peut envisager l’installation de plusieurs turbines en série dans une même conduite sans empêcher la circulation du fluide .
Si cette invention était développée , on pourrait démultiplier presque à l’infini la possibilité de production d’énergie hydraulique , car on pourrait installer en série ma turbine dans toutes les canalisations permettant de transporter de l’eau sous pression d’un endroit à un autre , que ce soit pour les besoins industriels , domestiques ou agricoles . Même les piscines des particuliers , des grands hôtels ou collectivités publiques , pourraient recevoir sur leur circuit de filtration des petites turbines qui permettraient de produire une petite quantité d’énergie électrique qui pourrait être vendue aux entreprises chargées de la distribution d’électricité comme EDF par exemple ou servir pour l’éclairage des jardins ou des espaces de circulation .
Pour régler le problème du réchauffement de la planète on peut construire de gigantesques barrages hydroélectriques , des usines marémotrices , d’immenses éoliennes , couvrir des km2 de panneaux solaires , ou aller installer dans l’espace de grande installations qui produiraient de l’énergie solaires qui seraient acheminer sur la terre par des dispositifs des transmissions d’énergie sans fil qui a été inventé par un Réunionnais ingénieur au CNES ,mais on peut aussi promouvoir la mini production , par des dispositifs tels que je propose .
Ceux qui veulent en savoir plus sur cette invention pourront avoir mes coordonnées en s’adressant à l’INPI à Paris ou à l’OEB à Munich, ou peut être s’adresser au journal Témoignages qui je pense acceptera bien volontiers de leur donner mon adresse mail puisqu’il accepte de mes interventions dans ses colonnes . Je profite de l’occasion pour remercier ce journal de me laisser la possibilité de m’exprimer librement sur ces articles . J’espère que je n’en abuse pas .