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Ouverture de la conférence de Doha
27 novembre 2012
La conférence de Doha a commencé hier par les discours d’ouverture et la mise en place de ses instances. L’objectif est de maintenir la hausse moyenne de la température sous les 2 degrés. Les délégués de plus de 190 pays participent aux travaux.
La conférence de Doha sur le Climat a commencé hier par un appel aux gouvernements à se concentrer sur les tâches essentielles afin que la réunion puisse parvenir à un accord qui constitue un autre pas en avant dans la lutte mondiale contre le changement climatique.
La conférence a également élu son président. Il s’agit de Adullah bin Hamad Al-Attiyah, actuellement président de l’Autorité de contrôle et de transparence du Qatar. Ce dernier a pressé la conférence de mettre en œuvre rapidement les décisions déjà adoptées.
« Le changement climatique est un défi commun pour l’humanité. Nous devons travailler pour un futur meilleur pour le présent et pour les générations à venir. Nous avons une opportunité durant les jours à venir et nous devons l’user à fond. Beaucoup de délégués ont insisté sur l’importance de conclure nos travaux à temps, et cela requiert que nous montrions tous de la souplesse », dit-il.
Christiana Figueres, secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique (UNFCCC) a mis en avant une série de rapports publiés juste avant Doha, qui pointent l’urgence d’agit pour maintenir la hausse moyenne des températures en dessous de 2 degrés, avant que l’impact du climat ne soit désastreux.
Christiana Figueres a notamment cité le rapport de la Banque mondiale, qui prévoit une hausse de 4 degrés, celui de l’Organisation météorologique mondiale qui situe la concentration de gaz à effet de serre à 390,9 parts par million, et celui du Programme des Nations Unies pour l’Environnement.
Pour Christiana Figueres, il n’est pas trop tard pour agir afin de maintenir la hausse sous les 2 degrés, mais le temps est vraiment compté.
« La conférence de Doha présente un défi unique : regarder le présent et l’avenir » , a déclaré la responsable de l’ONU pour le climat, Christiana Figueres, dans son discours d’ouverture. « Le présent, ce sont les moyens de relever le niveau d’ambition de manière urgente », c’est-à-dire que les pays prennent des engagements plus forts en matière de réduction de GES, a-t-elle détaillé.
Pour l’heure, les initiatives prises par les différents pays pour réduire leurs GES sont loin de permettre de contenir le réchauffement à + 2°C, objectif de la communauté internationale et seuil au-delà duquel le système climatique risquerait de s’emballer, avec des effets incontrôlables.
« L’avenir est le cadre qui s’imposera à tous, dans l’équité et conformément à ce que requiert la science », a-t-elle ajouté.
Elle faisait allusion à l’accord global, prévu en 2015 et devant entrer en vigueur en 2020, qui engage cette fois-ci tous les pays, dont la Chine premier pollueur mondial, répartissant entre eux les efforts pour limiter le réchauffement.
Les fondations de cet accord devraient être esquissées à Doha.
Plus d’une centaine de ministres sont attendus à partir du 4 décembre, pour le segment de haut niveau de la conférence qui se conclura par des décisions prises lors de la séance plénière du 7 décembre.
Quels sont les enjeux de la conférence climat de Doha ? Trois principaux sujets de négociation seront abordés à Doha : - l’adoption formelle de la deuxième période du protocole de Kyoto qui débutera en 2013 (pour une durée de 5 ou 8 ans), avec notamment des engagements quantifiés des pays développés, dont l’Union européenne, pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre ; - la finalisation de la mise en œuvre des accords de Cancún de 2010, avec notamment les modalités du fonds vert et des autres nouvelles institutions et mécanismes ; - la négociation du futur accord de lutte contre le changement climatique, engageant pays développés et pays en développement, à adopter en 2015 et qui entrera en vigueur en 2020. |
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