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Conférence de Bonn sur le climat
22 octobre 2015, par
Trois jours pour réaliser un projet d’accord sur le climat en vue de la Conférence internationale de Paris. La Conférence de Bonn sur les changements climatiques s’est ouverte à Bonn, en Allemagne, le 19 octobre, dans l’espoir de trouver un accord global contentant chaque pays.
À Bonn, les négociations sur le climat sont lentes et le temps presse : « nous avons seulement trois jours, je suis préoccupée par ce qui remonte des groupes de travail », a expliqué ce mercredi 21 octobre, la négociatrice française, Laurence Tubiana.
Les tractations restent frustrantes, car le mode de travail ne convainc pas, ni les engagements des pays. Laurence Tubiana a expliqué l’Agence France Presse que le « mode de travail va nous conduire où nous devons être à la fin de la semaine. Il faut se ressaisir ». Pourtant, « je sais que beaucoup de religieux veulent un accord sur le climat mais, franchement, il n’y a pas de miracle. Tout est entre vos mains », a-t-elle affirmé aux délégués.
Pour cette dernière, « nous ne pouvons pas attendre » la conférence de Paris pour faire des compromis. Mais, « si les ministres voyaient l’état d’avancement de la rédaction du projet d’accord, beaucoup de délégués perdraient probablement la moitié de leurs salaires immédiatement », a raillé Artur Runge-Metzger, médiateur d’un des groupes de travail.
L’enjeu est fondamental pour le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius, qui espère réellement atteindre un accord défini à Paris. Un moyen pour la France d’être un leader en la matière. Ainsi, ce dernier avait appelé les délégués de 195 pays à “avancer” dans leurs négociations, jugeant la semaine “critique” pour obtenir un succès à la conférence de Paris. « Nous devons avancer à Bonn pour avoir un succès à Paris », avait-il déclaré aux chefs des délégations.
Le but de cette conférence est de produire d’ici vendredi un projet d’accord clair et concis, conciliant les positions et clarifiant les points de divergence, qui devraient être tranchés à la COP de Paris (30 novembre-11 décembre). Mais, les débats de mardi n’ont pas avancé en raison des batailles de procédures et des demandes d’amendements.
« Nous sommes à un moment crucial et il y a de nombreux points sur lesquels les parties ne sont pas si éloignées », a indiqué l’ambassadrice sud-africaine, Nozipho Mxakato-Diseko, représentante des 134 pays en développement et émergents du groupe G77. Cette dernière a appelé les parties à ne plus « ajouter de texte ou de nouvelles idées à ce stade ».
D’autant que si les pays participant à la COP21 respectent leurs engagements, les émissions de gaz à effet de serre issues principalement du secteur de l’énergie vont continuer à croître mais à un rythme nettement inférieur, et même stagner dans certaines régions, a expliqué l’Agence internationale de l’énergie dans un communiqué de presse.
L’agence a indiqué qu’environ la moitié des engagements publiés à ce jour par 150 pays contiennent des objectifs explicites sur l’énergie, notamment via le développement des énergies renouvelables. Mais le secteur de l’énergie de chaque pays peut faire plus pour réduire ses émissions.
L’AIE préconise par exemple en agissant sur l’efficacité énergétique de l’industrie, en fermant les centrales à charbon les moins efficaces ou en mettant fin aux subventions aux énergies fossiles. De plus, les engagements nationaux doivent « améliorer leur clarté et leur consistance et mettre en avant les moyens d’atteindre leurs ambitions, notamment via des objectifs mieux définis et mesurables », a estimé l’Agence.
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