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Les appels alarmistes de Ban Ki-moon sur le climat
7 décembre 2012, par
A Doha, lors de la Conférence internationale sur le climat, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a appelé les pays membres à participer activement à la diminution des émissions de gaz à effet de serre, cause du réchauffement climatique. Ce dernier, conscient des enjeux, a affirmé que « L’anormal devient la nouvelle norme ».
Cette année, le secrétaire général de l’ONU a tenu à préciser : « N’ayons aucune illusion. Ceci est une crise, une menace pour nous tous, nos économies, notre sécurité et le bien-être de nos enfants et de ceux qui viendront après eux. Les signes du danger sont partout. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont atteint un niveau record. Nous, collectivement, sommes le problème » .
Pour un financement durable
Le diplomate onusien a plaidé pour un financement durable et renforcé des mesures d’atténuation et d’adaptation du réchauffement climatique de la Terre, au travers du Fonds vert pour le climat et du Centre et Réseau des technologies climatiques. Ce Fonds vert pour le climat devra être financé à hauteur de 100 milliards de dollars par an, comme promis d’ici 2020, par les pays riches. Ban Ki-moon a précisé que ce fonds ne sera pas une « coquille vide », car il « faut s’entendre sur une aide à moyen terme, d’ici 2015 ».
« Personne n’échappe au changement climatique, ni les riches, ni les pauvres. Il s’agit d’un défi existentiel pour l’ensemble de la race humaine, pour nos modes de vie, nos plans pour l’avenir », a-t-il expliqué. Il a invité les délégations des quelque 190 pays présents à Doha « à faire preuve d’un esprit de compromis ». « Je compte vraiment sur un fort engagement de votre part », a-t-il déclaré.
Face à l’aggravation de la situation et l’émission record de GES, le diplomate a fait état « de sentiments mêlés, optimistes et pessimistes », sur l’issue de la Conférence de Doha. Pour le secrétaire général de l’ONU, la conférence doit donner naissance à « une seconde période d’engagement du Protocole de Kyoto », et doit montrer un « engagement fort vis-à-vis d’un cadre global, légalement contraignant, en 2015 ».
Des demandes appuyées aux gouvernements
De leurs côtés, les 40 organisations non gouvernementales présentes ont adressé une lettre ouverte aux Etats membres demandant à régler rapidement la question du surplus de quotas d’émissions de GES, hérités de Kyoto 1, que les pays de l’ex-bloc de l’Est comme la Pologne veulent voir reconduits. Cependant, cette perspective peut fausser les résultats attendus de Kyoto 2, ce qui inquiète les pays du Sud. La lettre ouverte exhorte également les ministres des pays du Nord à « réparer » les dommages causés aux pays du Sud par le changement climatique, qui risque d’être « la plus grande injustice sociale de notre temps ».
« Les gouvernements doivent prendre en compte et réparer les pertes et dommages permanents résultant des impacts du changement climatique », écrivent Greenpeace, Care International, Climate Action Network, Oxfam ou encore des associations de la société civile de Bolivie, d’Urugay ou d’Islande. Le secrétaire général des Nations unies a également appuyé cette demande et appelé les gouvernements à démontrer leur intention de poursuivre les négociations autour d’un instrument juridique contraignant portant sur les changements climatiques. L’objectif est de limiter de 2 degrés Celsius l’augmentation des températures mondiales.
Céline Tabou
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