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2e pourparlers africains sur le climat
27 mars 2018
Le coordonnateur du Centre africain pour la politique en matière de climat (CAPC), James Murumbezi, appelle à une action cohérente pour la réduction des émissions de gaz à effets de serre, dans le cadre des deuxièmes pourparlers africains sur le climat, organisés par son institution.
« La clé pour réduire les risques du changement climatique est de réduire les émissions de gaz à effets de serre et de se préparer à l’adaptation. La réduction des émissions nécessite une action cohérente de la Communauté internationale, en particulier les pays responsables des émissions », a déclaré M. Murumbezi dans le cadre de cette rencontre qui porte sur le thème « Contribuer au Dialogue de Talanoa ».
« Une augmentation de 3,5 degrés Celsius rendrait la planète inhabitable », a-t-il alerté, faisant remarquer que les émissions dans les pays industrialisés ont déjà baissé d’environ 7% par rapport aux niveaux de 1990 - 1992. L’année 2012 est demeurée à environ 38% inférieure aux niveaux de 1990.
Pour cet expert, il est clair que le Protocole de Kyoto et l’Accord de Copenhague n’ont connu qu’un succès mitigé. « Comment alors expliquons-nous cet échec de la mondialisation de la gouvernance climatique », s’interroge-t-il, rappelant que ce qui est nécessaire n’est pas comment l’Etat peut réguler le marché, mais comment la société peut réguler à la fois le marché et l’échec du marché.
Organisés par le Centre africain pour la politique en matière de climat de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) et le Center for environnement science de l’Université d’Addis-Abeba, les deuxièmes pourparlers africains sur le climat visaient à apporter une dimension critique au dialogue de Talanoa, en posant les grandes questions contextuelles qui sont généralement passées sous silence dans le processus de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Plus de 200 responsables politiques, parlementaires, chercheurs, représentants des secteurs public et privé, de la Société civile, des groupes de jeunes et de femmes, des banques multilatérales de développement et des médias y ont pris part.
La rencontre est destinée à susciter un débat sur une série de questions touchant à la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national en Afrique et permettront de trouver des solutions possibles aux problèmes climatiques et de développement du continent.
Elle, qui a pris fin vendredi, devrait servir aussi de cadre pour débattre des résultats tant de la Cop23 à Bonn que des manifestations parallèles, organisées en marge de la trentième session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine de janvier dernier.
Elle fait suite aux premiers pourparlers africains sur le climat, organisés en septembre 2015 à Dar es-Salaam, en Tanzanie, et qui ont permis aux parties prenantes africaines de débattre des questions climatiques majeures du continent, en prélude à la COP21 de Paris en novembre 2015.
On rappelle que le Dialogue de Talanoa est l’un des principaux résultats de la vingt-troisième Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 23), Talanoa étant un terme fidjien désignant une conversation au cours de laquelle, les personnes impliquées échangent des idées et règlent des problèmes.
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