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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Semaine africaine du climat
12 septembre 2022
Le Kenya, le Maroc et la Tunisie ont inscrit le droit à un environnement propre et sûr dans leur constitution.
La Banque africaine de développement et l’Institut mondial de la croissance verte (GGGI) ont publié un rapport commun analysant l’état de préparation à la croissance verte de sept pays africains : Maroc, Tunisie, Kenya, Rwanda, Sénégal, Gabon et Mozambique.
Le rapport conjoint a été lancé en marge de la Semaine africaine du climat, à Libreville, au Gabon ((29 août-2 septembre). L’étude évalue l’état et les tendances de la croissance verte ainsi que le degré de préparation des pays africains à la transition vers la croissance verte en fonction d’un certain nombre de paramètres. Elle formule également des recommandations à l’attention des pays couverts par le rapport.
Malle Fofana, directeur Afrique et chef des programmes au GGGI, a déclaré : « Notre étude conjointe intitulée “La croissance verte dans le contexte de la mise en œuvre des CDN, SLT et ODD en Afrique”, qui évalue l’état et le degré de préparation de la mise en œuvre de la croissance verte, met en évidence des informations clés et précieuses pour nos États membres. »
Le rapport montre que les pays africains font preuve d’un engagement politique croissant en faveur de la croissance verte. Les gouvernements soutiennent activement les Objectifs de développement durable des Nations unies et les Contributions déterminées au niveau national dans le cadre de l’accord de Paris. Le Kenya, le Maroc et la Tunisie, en particulier, ont inscrit dans leur constitution le droit des citoyens à un environnement propre et sûr ainsi que d’autres droits connexes. Le Rwanda, le Kenya, le Maroc, le Sénégal et le Mozambique ont adopté des stratégies nationales de croissance verte et de résilience économique face au changement climatique.
Al-Hamndou Dorsouma, directeur par intérim du Département du changement climatique et de la croissance verte à la Banque africaine de développement et co-responsable du rapport, a déclaré : « Ce rapport devrait stimuler un dialogue et un débat fructueux sur les moyens de faire progresser l’action climatique et la croissance verte en Afrique. Pour la Banque africaine de développement, investir dans la croissance verte nécessite à la fois des interventions politiques et un financement adéquat, d’autant plus que les investissements dans la croissance verte exigent un financement initial important pour exploiter les solutions environnementales innovantes et les technologies propres. Cela comprend la mise en place d’économies résilientes et à faible émission de carbone, de villes intelligentes et durables, l’industrialisation verte et la construction d’infrastructures résilientes au climat ».
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