
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Rajendra Pachauri, président du GIEC
8 décembre 2009
Le Docteur Pachauri a dressé un tableau sans concession de la catastrophe qui va arriver si des mesures exceptionnelles ne sont pas appliquées au cours des six ans à venir.
Au cours de son intervention, le président du Groupe international d’expert sur l’évolution du climat (GIEC) a rappelé que les conclusions du dernier rapport du GIEC aboutissent à des prévisions dramatiques. Elles tiennent en sept points principaux :
- disparition possible de la banquise vers la fin du 21ème siècle.
- augmentation de la fréquence des phénomènes climatiques extrêmes, des vagues de chaleur et des violentes précipitations.
- diminution des ressources en eau des plusieurs régions du monde : pays de la Méditerranée, Ouest des Etats-Unis, Afrique australe et Nord-Est du Brésil.
- élimination possible de la calotte glaciaire du Groenland ce qui entrainerait une hausse de 7 mètres du niveau des mers.
- 20 à 30% des espèces vivantes sont menacées d’extinction à court terme si la température moyenne augmente au-delà de 1,5-2,5 degrés.
- tensions sur les ressources en eau dues à la croissance de la population et à l’urbanisation. En 2080, 2 milliards de personnes pourraient manquer d’eau. Et dès 2020, ce sont entre 75 et 250 millions d’Africains qui seront dans cette situation. Ce manque d’eau pourra faire diminuer les rendements des récoltes de 50%.
Rajendra Pachauri constate que des options d’adaptation peuvent être implémentées dans plusieurs secteurs à bas-prix et/ou avec un ratio bénéfice-investissement très intéressant. L’accent doit en effet être mis sur ces moyens d’atténuer les effets du changement climatique.
La priorité est la limitation des émissions de gaz à effet de serre. « Nous avons clairement spécifié dans le dernier rapport du GIEC que pour que la hausse de la température n’aille pas au-delà d’une fourchette comprise entre 2 et 2,4 degrés, les émissions ne doivent plus augmenter après 2015. Cela fait six ans à partir d’aujourd’hui »
Le Bangladesh submergé
Ne pas dépasser cette hausse de température permettra de ne pas enclencher un phénomène irréversible, irrattrapable et ingérable, sous-entend le Dr. Pachauri. Mais cette hausse signifie malgré tout une élévation du niveau de la mer comprise entre 0,4 et 1,40 mètres, ce qui peut submerger des petites îles ou de larges régions du Bangladesh.
Cela implique donc la mise en œuvre de nouvelles techniques de production d’énergie. Le président du GIEC note que le Danemark est un excellent laboratoire. Depuis 1980, ce pays s’est lancé dans l’éolien, et les éoliennes d’aujourd’hui sont capables de produire 100 fois plus d’électricité qu’il y a 30 ans. En dix ans, la puissance installée du parc des éoliennes est passée de 200 à 3.600 mégawatts.
Rajendra Pachauri a conclu son intervention en rendant hommage aux experts du GIEC qui mènent depuis 21 ans leurs recherches en toute indépendance. Des recherches qui convergent vers des prévisions de plus en plus pessimistes. Le président du GIEC a aussi souligné la qualité des travaux des dizaines de milliers de scientifiques qui s’efforcent de garantir un haut niveau de réflexion et de conduite des recherches afin que les résultats à partir desquels se construisent les prévisions puissent être exhaustifs et objectifs.
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Messages
9 décembre 2009, 03:17, par khalidh
je crois qu’avec le progrés dans tous les domaines et surtout le transport , l’homme est devenu dependant de certaines facilité de la vie journaliere , cependant , les plus grandes puissances mondiale dépendent aussi de la continuité de le production industrielle en général.
alors je pense que ces grandes puissances , ne peuvent ceder leur point majeur de force , et c’est l’industrie en général, causes de notre probleme , a une autre nation qui sera plus forte , exp ; chine , et u.s.a .
la solution n’est pas dans ces moments trajics une simple conference
mais un bras de fer , de tous les humains pour sauver leur générations avenir,contre les plus grandes puissances ,
l’homme aussi , vivant une vie paisible avec tous les moyens le confort, mis a ses besoins , n’aura pas a contre dire les dommages causer par la fabrication de ces besoins industrielle,
sauf que nous pouvons lancer une compagne télivisé pour révéiller le bon moral de chaque individu, et en creant un seul groupe ou tous les humains peuvent s’inscrire pour voter contre emmission de gaz a effet de cer