
Lotonomi alimantèr ? Dann in plan rényoné pou noute dévlopman.
17 juin, parMézami, mon bann dalon, Késtyonn dévlopman, zot i koné kossa noute parti i vé pou la Rényon é zot i koné kozman lo kozman noute bann kamarade kan (…)
Changement climatique
31 octobre 2017
Plus de 1 million de personnes en Somalie ont été forcées à abandonner leurs domiciles cette année, à la recherche de nourriture et d’eau, en raison principalement de la sécheresse, a indiqué ce mercredi, une agence humanitaire internationale.
« Nous sommes préoccupés par le niveau inquiétant de la crise. En moyenne, on estime á 3500 environ, le nombre de personnes qui ont fui leurs maisons chaque jour au cours de cette année, à la recherche d’eau et de nourriture pour survivre », a indiqué le directeur régional du Conseil norvégien en charge des réfugiés (NRC), Gabriella Waaijman.
« Nous assistons présentement à un exode massif de populations originaires des zones rurales, ce qui n’avait pas été vu depuis la famine des années 2011-2012 qui avait causé la mort de 260.000 personnes ».
Le Conseil norvégien pour les réfugiés a déclaré dans un communiqué publié ce mercredi, que les zones arides dans les communautés rurales en Somalie se sont transformées en villes - fantôme, en raison des mauvaises récoltes, des morts enregistrées au niveau du bétail et de la fuite des familles en grand nombre après que les réserves alimentaires furent épuisées.
Rien qu’au mois de septembre, quelque 49.000 personnes auraient fui leurs domiciles. La plupart ont migré dans des camps surpeuplés situés dans les zones urbaines où les Somaliens racontent et partagent mutuellement leurs mésaventures et leurs chances de survie.
« J’ai été victime de la sécheresse qui avait ravagé mon village et la région entière du bas Shabelle », a déclaré Asha Ali Hussein. Elle avait fui, il y a 8 mois, son village de Kontuwarey avec ses quatre enfants, en direction de Mogadiscio ».
« J’ai abandonné mon travail d’agriculteur sur une superficie d’un hectare en raison du manque d’eau. Les fleuves se sont asséchés ; il n’y avait nulle part la moindre goutte d’eau. Nous avons creusé la terre à la recherche d’eaux souterraines, mais nous n’avions rien trouvé. Tous les points d’eau ont disparu ».
Selon le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC), la sécheresse a empiré au cours de cette année 2017. La moitié de la population, soit environ 6,2 millions de personnes, est en besoin d’assistance humanitaire, et parmi ces derniéres, 3,1 millions sont en situation de crise. Avec les familles qui se déplacent à la recherche de nourriture, 388.000 enfants âgés de moins de 5 ans sont ainsi en situation de malnutrition aiguë.
Mme Asha, victime de la sécheresse, qui l’a forcée à quitter son domicile, aurait reçu du soutien financier du Conseil norvégien pour les réfugiés au cours des quatre derniers mois, y compris la somme de 81 dollars américains pour le compte de ce mois, pour acheter de la nourriture, de l’eau, pour payer les soins de santé et les frais de scolarité de ses enfants âgés de 4 à 10 ans. Ces dons ont été financés par l’agence humanitaire de l’Union européenne dans le cadre du programme de l’Union intitulé « l’alliance Cash » destiné aux Somaliens affectés par la sécheresse. Au total, 400.000 personnes ont, par ailleurs, bénéficié de ce programme à travers le pays.
« Nous devons continuer cette réponse urgente pour prévenir l’apparition d’une autre famine en Somalie. Les bailleurs ont ainsi offert des contributions significatives en direction de cette urgence humanitaire, mais davantage de fonds sont requis. Les prévisions pour la prochaine saison des pluies sont défavorables. La lenteur des contributions risque de pousser les gens à bout, par conséquent, les soutiens continus sont nécessaires », a averti M. Waiijman.
Alors que la sécheresse est la principale cause de déplacement en Somalie pour cette année, d’autres causes incluent l’insécurité et les inondations.
Mézami, mon bann dalon, Késtyonn dévlopman, zot i koné kossa noute parti i vé pou la Rényon é zot i koné kozman lo kozman noute bann kamarade kan (…)
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a indiqué que "l’héritage brutal du colonialisme persiste. Le racisme reste un (…)
Le nouveau plan de 29 milliards, au lieu des 44 milliards demandés pour 2025, va prioriser l’aide pour 114 millions de personnes.
« Monmon ! Not dé Tikarl i dsann la kaz Timari, in ? – Alé azot. Amiz pa soman. Sirtou, Tikok mi prévien aou, artourn pa isi ek linz an morso, (…)
Nous avions une occasion historique. Celle de montrer la voie, celle d’aligner nos grands discours internationaux avec la réalité de notre action (…)
Mézami,mon bann dalon, Mwin lé sirésèrtin zot i koné sa pars sa sé in fraz i sorte dann maloya otantik. Bien antandi nou la antann sa dann (…)
Mézami i paré la droite i rostriktir aèl apré la mortalité lanssien mèr Sin-Pyèr. El la trouv in nom : Nouvel’R. El la trouv in shèf : Mr (…)
Positionnement régional et unanime des Etats membres de la Commission de l’océan Indien (COI) à la 3ème Conférence des Nations unies sur l’océan (…)
Karine Lebon, députée de la 2e circonscription de La Réunion, dénonce une nouvelle fois la double taxation de TVA subie par les particuliers (…)
Selon un communiqué publié ce mercredi par la Chine, les deux pays ont bien progressé dans le désamorçage de leurs préoccupations économiques et (…)
Dèk la klos la soné, Tikok la fons dan la kour lékol konm volay si grin maï, é tout suit la komans santé : « Vive lé va-kan-se, pa de pé-ni-tanse (…)
Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), en collaboration avec le gouvernement des Seychelles à travers le ministère de (…)