
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Selon la FAO
28 février 2018
Selon la FAO, des pluies insuffisantes et des températures élevées ont entraîné un stress hydrique et nuisent au développement des cultures dans plusieurs régions d’Afrique australe.
Si les stocks céréaliers de la région sont amples, la vague de chaleur et les pluies irrégulières tombées quelques temps plus tôt pendant la saison annoncent de nombreux risques pour les rendements agricoles et pourraient avoir pour effet d’aggraver l’impact de la chenille légionnaire d’automne.
Selon une nouvelle alerte spéciale lancée par le Système mondial d’information et d’alerte rapide (SMIAR), la diminution des récoltes « aura probablement pour conséquence d’intensifier l’insécurité alimentaire en 2018 et donc de grossir les rangs des personnes ayant besoin d’aide ».
En Afrique australe, la production de maïs a atteint un nouveau record en 2017, un développement bien accueilli après une forte chute de la production l’année précédente causée par le phénomène climatique El Niño. En 2018, la production céréalière dans la sous-région devrait diminuer, en raison des pluies irrégulières et d’une vague de sécheresse plutôt intense en janvier.
Cette alerte intervient alors que le Directeur général de la FAO, M. José Graziano da Silva, qui s’exprimait depuis Khartoum, a insisté sur l’importance de renforcer la résilience des communautés - en particulier en Afrique - afin d’atteindre l’objectif Faim Zéro.
D’après le SMIAR, le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire dans la sous-région est appelé à augmenter en 2018 et a donc inversé la tendance à la baisse signalée l’année dernière.
En 2016, la baisse de la production alimentaire en raison du phénomène El Niño a fortement contribué à augmenter le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire dans la sous-région. Au Malawi, près de 6,7 millions de personnes étaient en situation d’insécurité alimentaire, tandis qu’elles étaient un peu plus de 4 millions au Zimbabwe. Selon des estimations officielles, la relance de la production céréalière sous-régionale, qui a atteint un niveau record en 2017, a permis de nettement diminuer les chiffres liés à l’insécurité alimentaire, avec notamment une baisse de 90 pour cent.
En 2017, la production de maïs a augmenté de 43 pour cent, dépassant la moyenne établie récemment, tandis que pour la première fois en cinq ans, la production sous-régionale a dépassé les quantités nécessaires à la consommation domestique, et ce, même en excluant l’Afrique du Sud, l’un des principaux exportateurs de maïs sur le continent. La plupart des pays ont donc pu renflouer leurs stocks. Ces stocks de plus grande ampleur devraient donc en partie compenser les effets de la baisse de production à venir. Les prix locaux du maïs, actuellement faibles sur une base annuelle, annoncent également des conditions d’approvisionnement propices.
Au niveau des ménages, d’après le SMIAR, de nombreux petits exploitants agricoles et familles rurales tentent toujours de se relever après les pertes entraînées par la grave sécheresse provoquée par le phénomène climatique El Niño et risquent de connaître une récession. Cela est particulièrement le cas lorsque les récoltes de 2017 ont été insuffisantes, comme à Madagascar.
Cela devrait également être le cas dans les zones où les conditions climatiques ont été défavorables, tel que dans certaines régions du Lesotho, dans le sud et le centre du Mozambique, à l’ouest de l’Afrique du Sud, dans le sud de la Zambie et du Mali, à l’est du Zimbabwe et au sud-ouest de Madagascar.
Les tendances liées aux précipitations sont également importantes par rapport au problème de la chenille légionnaire d’automne, une espèce invasive qui a maintenant été détectée dans tous les pays de la sous-région, sauf au Lesotho et sur l’île Maurice. Alors que de fortes pluies sont récemment tombées sur certaines localités et pourraient avoir contribué à la propagation du ravageur, la vague générale de sécheresse à venir pourrait également contribuer à le propager et à exacerber son impact dans les champs.
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Messages
28 février 2018, 14:34, par Maillot Joseph Lucay
Le changement climatique va réduire la sécurité alimentaire de la planète toute entière ,car l’augmentation des gaz à effet de serre provoque des conséquences dramatiques sur l’agriculture aussi bien en été qu’en hiver.
En été la densité de l’atmosphère provoque un effet de serre qui fait augmenter la température et occasionne des phénomènes de sécheresse ou de pluies diluviennes ou de cyclones qui qui causeront des pertes importantes aux exploitations agricoles , et en hiver cette même densité de l’atmosphère empêche les rayons du soleil d’arriver jusqu’au sol , ce qui va provoquer des grands froids comme ceux constatés ces temps ci dans l’hémisphère nord et qui vont détruire les cultures par le gel et par les inondations .
Si nous n’intervenons pas rapidement pour arrêter l’augmentation des gaz à effet de serre et stopper les phénomènes de grandes chaleurs en été et de grands froid en hiver , ce sont des centaines de millions de personnes si ce n’est des milliards que nous sommes en train de condamner à mourir de faim de chaud et de froid par notre inaction dans très peu de temps , d’ici une trentaine d’années au plus .
Il est d’autant plus urgent que l’humanité toute entière se mobilise pour faire face au changement climatique provoqué par l’augmentation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère , car dans les régions polaires où les sols gelés depuis des centaines de milliers d’années contiennent une quantité phénoménale de gaz à effet de serre , l’augmentation des températures estivales va entrainer leur dégel et libérer chaque année une partie des gaz qu’ils contiennent et par voie de conséquence augmenter encore plus la densité de l’atmosphère ce qui entrainera une augmentation toujours plus grandes des température en été et des grands froids en hiver .
Il faudrait donc que chaque être humain soit obligé chaque jour d’accomplir quelque chose qui permet de lutter contre le réchauffement climatique .Nous parlons du phénomène mais que faisons nous pour l’arrêter ? Ceux qui nous gouvernent devraient mettre en place très rapidement des programmes d’actions très précis mobilisant tout le monde quelque soit leur position et leur activité .