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Les Philippines ravagées par le cyclone Mangkhut
17 septembre 2018, par
L’île de Luçon dans l’archipel des Philippines a été dévastée par le passage du cyclone Mangkhut, amenant des vents à 330 km/h et des pluies diluviennes, causant au moins 49 morts. Le typhon concerne désormais la Chine où malgré un passage de l’œil du cyclone à 100 kilomètres de Hong-Kong, les dégâts sont très importants. Comment La Réunion pourrait-elle résister à un tel phénomène ?
C’est le cyclone le plus puissant de l’année qui vient de frapper durement les Philippines avant de toucher la Chine. Le typhon Mangkhut est responsable de vents à 330 km/h, de vagues monstrueuses et de pluies diluviennes. C’est l’île de Luçon, la plus grande des Philippines, qui a été la plus violemment frappée. Les autorités font état de 49 morts, plus de 100.000 personnes ont été contraintes d’évacuer. À un mois de la récolte, les planteurs de riz ont tout perdu et ne savent pas comment ils vont pouvoir se nourrir.
Mangkhut est une nouvelle illustration de cyclone très intense plus fréquents, avec des dégâts considérables. La vitesse des vents est telle que rien ne résiste. Cela n’est pas propre aux bâtiments de pays en développement. Le passage d’Irma l’année dernière à Saint-Martin a détruit de nombreuses infrastructures, alors que l’île est sous la souveraineté de deux États de l’Union européenne.
Face à une telle situation se pose la question de savoir ce qui pourrait résister si un tel cyclone venait à toucher La Réunion. Cela concerne tout d’abord les constructions des habitants, alors qu’un Réunionnais sur trois vit dans une zone considérée à risque. Cela touche aussi les infrastructures, avec tout ce qui est construit sur le littoral. D’où l’importance d’appliquer un principe élémentaire de protection, en empêchant toute nouvelle construction sur le littoral.
Ces cyclones très intenses sont une partie d’un problème plus global, lié au changement climatique. La zone d’évolution habituelle des cyclones tropicaux très intense se rapproche chaque année de La Réunion. D’où une probabilité plus grande d’être sur la route d’un tel cyclone.
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Messages
17 septembre 2018, 08:50, par Maillot Joseph Lucay
Comme le réchauffement climatique doit générer des cyclones plus puissants il est étonnant que la zone de l’océan indien où nous sommes situés n’ait pas été touchée par un cyclone soufflant des vents plus de 330 Km /h au cours de 20 dernières années . C’est peut être du à la chance , mais aussi peut être aux conséquences du réchauffement climatique lui même qui a augmenté la quantité d’eau froide portée par les grands courants froids provenant du pole sud suite l’augmentation de la température sur l’antarctique . Cette augmentation de la température sur le Pôle sud a généré chaque année une fonte des glaces beaucoup plus importante et les courants marins ont apporté cette eau froide jusqu’à l’équateur où elle a empêché la surface de l’océan d’atteindre les 30° nécessaires la formation des mouvements dépressionnaires qui se transforment en cyclone.
A l’inverse ; comme les surfaces de l’océan de l’hémisphère nord situés prés de l’équateur n’est pas touchée par des grands courants froids en provenance du pôle Nord la température de l’eau de mer peut monter plus facilement vers les 30 à 35° et générer des cyclones plus violents ; que ce soit sur dans l’océan indien dans l’océan pacifique ou dans l’Atlantique.( c’est sans doute ce qui explique le nombre de très violents cyclones qui ont frappés les régions de l’hémisphère nord au cours de ces dernières années )
Si c’est l’arrivée massive d’eau froide en provenance du Pôle Sud qui empêche la formation de gros cyclones dans la partie de l’océan indien située au desous de l’équateur nous serons peut être préservés des gros cyclones tant qu’il y aura de grandes quantité de glace à fondre dans l’Antarctique . Mais ce n’est peut être pas le cas et le fonctionnement de la planète pourrait générer des phénomènes de réchauffement localisés de l’océan qui seraientt indépendant de la circulation des courant froids . Et dans ce cas nous demeurons dans la zone à risques très élevés de subir un jour le passage d’un puissant cyclone générant des vents de plus de 330 km/h . Et il faut que nous prenions dès maintenant de mesures pour nous protéger de ces phénomènes monstrueux .
Cette protection passe par une meilleure sensibilisation des gens sur la nécessité de construire leur maison solidement et d’éviter de leur donner beaucoup de prise au vent , mais également sur la nécessité de bien choisir le terrain d’implantation ,qu’il ne soit pas situé dans une zone inondable ou de glissement de terrain …. Mais elle passe aussi par un meilleur contrôle des autorités des règles appliquer et bien entendu par la mise en place de moyens efficaces d’interventions pour agir lorsque nous serons frappés par un gros cyclones et pour réparer les dégâts causés .
Il faudrait réviser les lois sur les assurances de manière à ce que les dégâts causés soient pris en charges lorsque les assurés peuvent prouver qu’ils ont appliqués la loi . Il faudrait aussi créer des fonds d’intervention d’urgence qui viennent en aide rapidement à ceux qui sont touchés . Et pour pouvoir revenir rapidement une situation normale il faudrait mettre en place la possibilité de mobiliser des secours rapidement en instituant une sorte service obligatoire pour lutter contre les catastrophes naturelles . Un peu comme les réservistes de l’armée qui n’interviennent que lorsque certaines conditions sont remplies .
Enfin comme l’augmentation de l’intensité des cyclones pourrait être considérée comme une conséquence du réchauffement climatique provoqué par les hommes sur toute la planète il faudrait aussi que tous les hommes de la planète soient mobilisés pour venir en aide à ceux qui sont touchés par les cyclones . Cette mobilisation peut se réaliser par la création d’une institution internationale alimentée par une contribution de tous les pays,et dont les missions seraient de lutter de manière appropriée contre les cyclones et leur conséquences partout dans le monde .