La moitié de la population mondiale est urbanisée

Villes : points chauds d’impacts et de risques, mais aussi un élément crucial de la solution

1er mars 2022

Le dernier rapport du GIEC publié hier fournit une évaluation détaillée des impacts, des risques et de l’adaptation au changement climatique dans les villes, où vit plus de la moitié de la population mondiale.

La santé, la vie et les moyens de subsistance des populations, ainsi que les biens et les infrastructures essentielles, y compris les systèmes d’énergie et de transport, sont de plus en plus affectés par les risques liés aux vagues de chaleur, aux tempêtes, à la sécheresse et aux inondations, ainsi qu’aux changements à évolution lente, notamment l’élévation du niveau de la mer.

« Ensemble, l’urbanisation croissante et le changement climatique créent des risques complexes, en particulier pour les villes qui connaissent déjà une croissance urbaine mal planifiée, des niveaux élevés de pauvreté et de chômage et un manque de services de base », a déclaré Debra Roberts, Coprésidente du Groupe de travail II du GIEC.
« Mais les villes offrent également des opportunités d’action pour le climat – des bâtiments écologiques, un approvisionnement fiable en eau propre et en énergie renouvelable, et des systèmes de transport durables qui relient les zones urbaines et rurales peuvent tous conduire à une société plus inclusive et plus juste. »

A la Une de l’actuAccord de Paris sur le climatCOP27

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