
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Notre région
26 février 2020
La Vice-Secrétaire générale des Nations Unies, Amina j. Mohammed, visite le parc national de Hwange au Zimbabwe pour voir de première main l’impact du changement climatique sur l’habitat, la faune et la population.
En Afrique, les êtres humains et la faune souffrent grandement des effets du changement climatique. C’est ce que la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies, Amina J. Mohammed, a pu constater au Zimbabwe, où elle effectue une visite depuis dimanche.
Alors que les températures mondiales continuent d’augmenter et que le monde cherche des solutions au réchauffement de la planète, la numéro deux de l’ONU a visité le parc national de Hwange, qui s’étend sur 14.651 kilomètres carrés, soit près de 6 fois la superficie de La Réunion.
« Nous avons vu ce que le changement climatique fait à notre environnement et à nos moyens de subsistance », a-t-elle dit. « Nous avons vu comment le parc est attaqué par le changement climatique ».
Alors que les conditions météorologiques ont entraîné une diminution des précipitations, plus de 400 espèces d’oiseaux et 150 mammifères - dont 45.000 éléphants – souffrent, a indiqué Hillary Madhiri, du Bureau des parcs nationaux et de la faune.
Les principaux problèmes comprennent les conflits entre les humains et la faune, le manque d’eau, la perte d’habitat, les ressources limitées, la gestion de la population et les partenariats communautaires pour préserver le parc.
M. Madhiri a affirmé que de tous ces problèmes « le changement climatique est notre plus grand défi ». Mme Mohammed a salué les efforts du parc pour protéger la nature contre le changement climatique.
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