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Projet accessoire de mode du collège Oasis du Port — 3 —
2 décembre 2010
Chaque année, le collège Oasis du Port organise un projet concernant un accessoire de la mode. Cette année, le thème de la chaussure a été mis en valeur. Voici la suite de l’aventure de la classe de 4ème 7 qui a travaillé sur ce sujet.
• Le Musée de la Chaussure : un musée international
Le Musée international de la Chaussure se situe à Romans-sur-Isère, une ville près de Valence. Ce musée était un ancien couvent qui se nommait le couvent de la Visitation. C’est le plus grand musée du monde consacré à la chaussure, puisqu’il propose plus de 16.500 pièces. Il retrace l’histoire de la chaussure non seulement en Europe, mais aussi dans le monde entier.
Comme c’était un couvent, il y avait des cellules. Les concepteurs du musée ont gardé ces 18 cellules et en ont fait des lieux d’exposition spécifiques pour chaque époque. En visitant le musée, on peut donc voir l’évolution de la chaussure à travers 4 millénaires d’histoire et de création.
Nous avons pu voir l’une des premières chaussures qu’un humain ait portées : il s’agit d’une sandale en papyrus. Elle date de 1.500 ans avant Jésus Christ. Il y a donc plus de 3.500 ans !
Nous avons tous été très impressionnés aussi par les bottes de 7 lieux que portaient les mousquetaires. Ces bottes pesaient plus de 4 kilos !!! Nous avons vu également des bottillons de femmes pour des pieds mutilés, les lotus d’or, car, en fait, au 18ème siècle, on pensait que les grands pieds étaient signe de laideur. Alors on bandait les pieds des fillettes et ils finissaient par se déformer.
Nous avons également vu des sandales romaines, des chaussures qui sont dites « à la Poulaine ». Elles avaient une étrange particularité puisqu’elles étaient plus ou moins longues et que la longueur dépendait de la personne. Plus la personne était riche, plus la pointe de la chaussure était longue. C’est comme ça qu’on a appris que l’expression française « Vivre sur un grand pied » venait de là. Nous avons également découvert les “Chopines” vénitiennes du 17ème siècle, les hommes les appelaient « pied de vache » à cause de leur ressemblance avec le sabot de l’animal.
Nous avons également vu les bottes de pages et de postillons, et des chaussures de cour aux talons rouges. Nous avons admiré des chaussures de princesses et de princes. On a vu des chaussures faites dans toutes les matières : en soie, en bois, en cuir, en papier, en végétal, en métal, et même en bois des sables brûlants d’Afrique...
Des œuvres contemporaines aussi
Si beaucoup de place est consacrée à l’histoire de la chaussure à travers les millénaires et les continents, il y a aussi des créations contemporaines, car les plus grands créateurs et les plus grands designers du 20ème et du 21ème siècle veulent que leurs chaussures soient exposées, comme par exemple Roger Vivier, le créateur en 1954 du talon aiguille à qui une salle est entièrement consacrée. Roger Vivier disait que ces chaussures étaient des œuvres d’art, des bijoux, des sculptures.
Il y a des créations complètement insolites comme celles de Thierry Agnogne. Il se sert de papier (un peu cartonné) pour faire ses chaussures, où l’on peut lire parfois des mots grossiers…
Dans le musée, il y a aussi des tableaux… représentant bien sûr des chaussures. Il y a également des chaussures féériques de films. On a pu aussi comprendre que si les chaussures étaient toutes dissemblables, c’est parce qu’elles correspondaient non seulement à des phénomènes de mode, mais aussi à des cultures différentes et des époques différentes.
Aymane, Tatiana, Emmanuel, Diêm
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