
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Projet accessoire de mode du collège Oasis du Port — 3 —
2 décembre 2010
Chaque année, le collège Oasis du Port organise un projet concernant un accessoire de la mode. Cette année, le thème de la chaussure a été mis en valeur. Voici la suite de l’aventure de la classe de 4ème 7 qui a travaillé sur ce sujet.
• Le Musée de la Chaussure : un musée international
Le Musée international de la Chaussure se situe à Romans-sur-Isère, une ville près de Valence. Ce musée était un ancien couvent qui se nommait le couvent de la Visitation. C’est le plus grand musée du monde consacré à la chaussure, puisqu’il propose plus de 16.500 pièces. Il retrace l’histoire de la chaussure non seulement en Europe, mais aussi dans le monde entier.
Comme c’était un couvent, il y avait des cellules. Les concepteurs du musée ont gardé ces 18 cellules et en ont fait des lieux d’exposition spécifiques pour chaque époque. En visitant le musée, on peut donc voir l’évolution de la chaussure à travers 4 millénaires d’histoire et de création.
Nous avons pu voir l’une des premières chaussures qu’un humain ait portées : il s’agit d’une sandale en papyrus. Elle date de 1.500 ans avant Jésus Christ. Il y a donc plus de 3.500 ans !
Nous avons tous été très impressionnés aussi par les bottes de 7 lieux que portaient les mousquetaires. Ces bottes pesaient plus de 4 kilos !!! Nous avons vu également des bottillons de femmes pour des pieds mutilés, les lotus d’or, car, en fait, au 18ème siècle, on pensait que les grands pieds étaient signe de laideur. Alors on bandait les pieds des fillettes et ils finissaient par se déformer.
Nous avons également vu des sandales romaines, des chaussures qui sont dites « à la Poulaine ». Elles avaient une étrange particularité puisqu’elles étaient plus ou moins longues et que la longueur dépendait de la personne. Plus la personne était riche, plus la pointe de la chaussure était longue. C’est comme ça qu’on a appris que l’expression française « Vivre sur un grand pied » venait de là. Nous avons également découvert les “Chopines” vénitiennes du 17ème siècle, les hommes les appelaient « pied de vache » à cause de leur ressemblance avec le sabot de l’animal.
Nous avons également vu les bottes de pages et de postillons, et des chaussures de cour aux talons rouges. Nous avons admiré des chaussures de princesses et de princes. On a vu des chaussures faites dans toutes les matières : en soie, en bois, en cuir, en papier, en végétal, en métal, et même en bois des sables brûlants d’Afrique...
Des œuvres contemporaines aussi
Si beaucoup de place est consacrée à l’histoire de la chaussure à travers les millénaires et les continents, il y a aussi des créations contemporaines, car les plus grands créateurs et les plus grands designers du 20ème et du 21ème siècle veulent que leurs chaussures soient exposées, comme par exemple Roger Vivier, le créateur en 1954 du talon aiguille à qui une salle est entièrement consacrée. Roger Vivier disait que ces chaussures étaient des œuvres d’art, des bijoux, des sculptures.
Il y a des créations complètement insolites comme celles de Thierry Agnogne. Il se sert de papier (un peu cartonné) pour faire ses chaussures, où l’on peut lire parfois des mots grossiers…
Dans le musée, il y a aussi des tableaux… représentant bien sûr des chaussures. Il y a également des chaussures féériques de films. On a pu aussi comprendre que si les chaussures étaient toutes dissemblables, c’est parce qu’elles correspondaient non seulement à des phénomènes de mode, mais aussi à des cultures différentes et des époques différentes.
Aymane, Tatiana, Emmanuel, Diêm
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)