
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Les 18 et 19 octobre à l’Université de La Réunion
11 octobre 2024
Les 18 et 19 octobre prochain, la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de La Réunion accueillera un colloque international sur le thème du « vivre ensemble ». Il s’agira notamment de préciser la définition de ce concept souvent employé au sujet de la société réunionnaise.
« C’est depuis l’île de La Réunion, région française ultramarine et ultrapériphérique de l’Europe, connue pour sa « diversité exemplaire », comme « l’île où tous les peuples du monde se sont réunis », ou encore comme la « vitrine du vivre ensemble » que nous souhaitons penser et questionner l’expression « vivre ensemble » », indiquent les organisateurs du colloque international consacré à ce sujet les 18 et 19 octobre prochains à l’Université de La Réunion.
Ce colloque, organisé par des chercheurs en Sciences Humaines et Sociales des universités de La Réunion et de Mayotte, a pour objectif de stimuler la réflexion, d’encourager le travail collaboratif et de questionner la notion de « vivre ensemble ». Pour cela, il propose de confronter divers points de vue théoriques, méthodologiques et analytiques qui traitent de cette thématique.
Vivre ensemble : « souvent utilisée et brandie par une pluralité d’acteurs, cette notion est utilisée à différents niveaux institutionnels. Au niveau national, dans l’espace francophone, elle se retrouve dans les programmes scolaires français, suisses, canadiens ou encore belges, malgaches. Au niveau international, l’expression a été mobilisée pour la première fois dans une production écrite du Conseil de l’Europe dès 2008 et, ensuite, gagne en force en s’inscrivant dans les orientations éducatives de L’Unesco en 1996, 2002 et 2003. En décembre 2017, l’Assemblée générale de l’ONU propose quant à elle une « Journée internationale du vivre-ensemble en paix » », expliquent les organisateurs.
Ils posent ensuite le cadre du colloque : « au-delà de son utilisation par différents organismes et divers acteurs de la vie publique, l’expression « vivre ensemble » mérite de faire l’objet d’une réflexion approfondie car elle est souvent peu ou pas, voire, mal définie.
Fait-elle consensus ou dissensus au sein de la communauté régionale, nationale ou internationale ? Est-elle une valeur ? Une valeur universelle ? Est-elle propre à un ou à des pays, à une ou à des aires géographiques et/ou culturelles ? De quelles manières s’exprime-t-elle dans les aires francophones et ailleurs ? Que signifie-t-elle ? Est-elle utilisée, comprise, appliquée de la même manière selon les territoires et les acteurs en présence ? Comment est-elle vécue par les individus, les groupes associatifs, les groupes politiques ? Comment se fait-il que l’expression soit souvent associée à d’autres notions telles que celles de laïcité, de solidarité, de tolérance, d’inclusion, de citoyenneté, de diversité, d’interculturalité, de métissage, de créolisation, de reconnaissance, etc. ?
C’est parce que cette expression du « vivre ensemble » — qu’elle soit écrite avec un tiret ou non, qu’elle soit encadrée de guillemets ou non — nous paraît floue d’un point de vue scientifique que nous souhaitons proposer une réflexion sur ce qu’elle recouvre aussi bien au niveau des pratiques que des représentations et des discours. »
« C’est dans une perspective inter et pluridisciplinaire (sociologie, anthropologie, sciences de l’information et de la communication, sciences de l’éducation et de la formation, philosophie, sciences du langage, géographie, histoire, droit, sciences politiques, etc.) que nous souhaitons promouvoir un décloisonnement propice tant à l’enrichissement qu’à l’approfondissement de cette expression », concluent-ils.
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