
C’était un 30 juin
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Election à la présidence de l’Université de La Réunion
4 juin 2008
Michel Boyer annonce sa candidature à la tête de l’Université de La Réunion. Fort de son expérience reconnue par la communauté universitaire, et soutenu par ASUR, il se présente comme le candidat du rassemblement, porteur d’un projet dynamique pour redorer l’image de l’université, capable de réussir la mise en œuvre de la loi Pécresse et la négociation du prochain contrat quadriennal.
C’est sûr. Le personnage impose le respect. Professeur des universités en sciences de gestion, vice-doyen de la faculté de droits et d’économie à seulement 25 ans et demi, directeur de l’IAE, ancien délégué général du CNPF (l’actuel MEDEF), fondateur du laboratoire de recherche en sciences de gestion, Président de l’Université de 1997 à 2002, Président du Conseil d’administration de l’ANT, bref ! Michel Boyer serait l’homme de la situation, compétent, réfléchi, apte en tout cas pour sortir l’université de la crise dans laquelle elle se trouvait il y a encore quelques semaines. Il n’hésitera pas à revenir au bilan de sa présidence, jusqu’à faire de l’ombre au bilan attendu de l’actuel président. Il est vrai que durant sa présidence, l’université s’affichait plus vivante, et était plus visiblement un ascenseur social pour les étudiants. L’Université de La Réunion est un miroir du savoir-faire français dans l’océan Indien, et surtout la seule université européenne de l’hémisphère Sud. Michel Boyer estime que sa gestion allait au profit des étudiants, pour qui il s’est montré soucieux du devenir professionnel, sans épargner les efforts pour développer la recherche à La Réunion. L’université, tout le monde peut y trouver sa place, du moment que l’institution fasse son travail : instruire consciencieusement les étudiants, être à la pointe de la recherche ; et que la même institution s’entende avec la communauté universitaire. On gardera malheureusement de la présidence de Serge Svizzero toutes les tensions, les crises, les blocages, les démissions au conseil d’administration, et récemment l’irrégularité de la tenue des élections. Ouf ! voilà enfin un candidat que l’on connaît propice au dialogue, scrupuleux dans sa gestion de l’université, au plus proche de l’épanouissement estudiantin. De grands rendez-vous attendent l’Université. Tant qu’à faire, mieux vaut que le futur président soit capable de mener à bout la mise en œuvre de la loi Pécresse, visant la réforme des universités, et qu’il soit initié à la négociation de contrat quadriennal. Michel Boyer semble être le seul à se démarquer en la matière.
Rencontre avec la communauté universitaire
Michel Boyer n’en finit pas d’aller à la rencontre de la communauté universitaire. Il a peu de temps. Jusqu’au 19 juin, date des élections, il doit convaincre. Il est en campagne, soutenu par l’ASUR, qui est « convaincu que seul un universitaire de grande expérience, dont le parcours conjugue compétence, rigueur et disponibilité et qui bénéficie de la reconnaissance et du soutien de l’environnement extérieur, pourra permettre à notre université de relever rapidement les défis auxquels elle est confrontée ». Il ne fait aucun doute que Michel Boyer saura sortir l’université de cette crise délétère. Reste le projet pour l’université d’aujourd’hui et de demain. Le candidat Boyer indique 4 positions. L’université doit rester un ascenseur social. Elle doit être productrice de connaissances par la recherche, connaissances utiles à notre société. Elle doit être une référence européenne dans l’océan Indien en matière de recherche et d’enseignement supérieur. Par ailleurs, elle ne peut s’affranchir des défis climatiques. L’Université verte, pourquoi pas ? Tant que l’Université redeviendra vivante, un terrain d’expression, et de découverte. Tout cela dans un climat apaisé !
Bbj
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