
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Sur une population scolaire de plus de 100 000 élèves à Mayotte et plus de 200 000 à La Réunion
6 février, par
Le cyclone Chido a amplifié la crise dans le système éducatif à Mayotte, avec des écoles endommagées et des conditions d’apprentissage encore plus précaires. 1 300 élèves ont dû être scolarisés hors de l’île, dont 625 à La Réunion. Cette situation soulève des questions fondamentales sur la solidarité entre des peuples voisins qui ont des liens historiques et culturels importants. L’accueil de ces jeunes Mahorais représente dans ce sens un test révélateur.
Après le passage destructeur du cyclone Chido, l’île de Mayotte fait face à une crise sans précédent en matière d’éducation. Les infrastructures scolaires, déjà fragiles, ont subi d’importants dommages. Entre bâtiments ravagés, pannes d’électricité et d’eau, ainsi que divers actes de vandalisme, les conditions d’apprentissage se sont dégradées. Face à cette situation, de nombreux parents ont décidé de scolariser leurs enfants hors du territoire.
Au 30 janvier, environ 1 300 élèves ont été inscrits dans des établissements en dehors de Mayotte, faute de conditions d’enseignement acceptables sur l’île. Parmi eux, 625 ont trouvé refuge à La Réunion. Une aide de l’État a été mise en place pour faciliter le transport des jeunes en quête de meilleures conditions scolaires. Le rectorat de La Réunion a organisé des réunions d’information pour aider les familles dans leurs démarches.
Selon Réunion Première, sur les 625 élèves accueillis à La Réunion, 288 sont en maternelle et en primaire. Ces jeunes ont été répartis dans 13 communes de l’île, notamment à Saint-Denis (107 inscriptions), Saint-Pierre (44), Saint-André (28), Le Port (25), Saint-Louis (21), Saint-Paul (15).
220 jeunes ont rejoint les collèges réunionnais, principalement dans le Nord (113 inscriptions), mais aussi dans le Sud (47), l’Est (38) et l’Ouest (22). Dans les lycées, 114 inscriptions ont été effectuées dans l’enseignement général et technologique, dont 67 dans le Nord, 22 dans le Sud, 18 dans l’Ouest et 7 dans l’Est. En ce qui concerne l’enseignement professionnel, seuls trois élèves ont été recensés, avec une inscription dans le Nord et deux dans l’Ouest.
Malheureusement, l’arrivée de ces élèves suscite des tensions. Des discours de rejet de certains groupes instrumentalisent la situation pour alimenter un climat de méfiance à l’égard des Mahorais. Sur certaines radios, des propos discriminatoires ont été diffusés. Cette hostilité est alimentée par des peurs irrationnelles. Elle menace le vivre-ensemble et renforce un racisme déjà présent.
Cette crise met en lumière la vulnérabilité face aux catastrophes climatiques et soulève des questions fondamentales sur la solidarité entre des peuples voisins qui ont des liens historiques et culturels importants. L’accueil de ces jeunes Mahorais représente dans ce sens un test révélateur.
M.M.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)