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École
24 décembre 2005
Au lendemain de l’agression d’une enseignante dans un lycée en France, le ministre de l’Éducation nationale propose la présence de permanences de la police et de magistrats dans les écoles de la République.
On peut s’en douter, cette idée n’a pas tardé à susciter de nombreuses réactions plutôt défavorables de la part de personnes concernées, notamment les enseignants.
Si l’on considère plus largement la question de la sécurité dans les établissements scolaires, on ne peut que constater que depuis 2002, les différents gouvernements qui se sont succédé ont agi en pyromanes. Depuis le Front populaire, il existait au sein de l’Éducation nationale le corps des maîtres d’internat-surveillant d’externat. Gérés, comme les enseignants et les TOS, par le rectorat, ces postes de surveillants étaient destinés en priorité à des jeunes souhaitant poursuivre leurs études et ayant la nécessité de travailler pour les financer.
Pendant donc près de 70 ans, des centaines de milliers de jeunes ont pu bénéficier de “l’ascenseur social” de l’école de la République tout en assurant la sécurité dans les collèges et les lycées. Mais ceci a été supprimé par le précédent gouvernement.
À la place de ces surveillants, des assistants d’éducation à temps partiel, donc des postes à temps complet beaucoup moins nombreux, et dont la gestion ne dépend plus du rectorat. Moins de postes veut donc dire moins de sécurité.
Dans ces conditions, le gouvernement ne peut pas honnêtement s’indigner de la hausse d’un sentiment d’insécurité, puisqu’il a réuni toutes les conditions pour qu’il apparaisse. Alors pourquoi faire entrer la police dans les écoles puisqu’une autre solution est possible, et qu’elle a fait ses preuves pendant des décennies ?
Manuel Marchal
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