
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Journée de l’AFPAR à Saint-André
3 mai 2007
L’AFPAR de Saint-André ouvre ses portes aujourd’hui au public pour présenter ses formations de maçon et d’installateur de réseaux câblés. Si, pour ce métier, les candidats se bousculent, pour la maçonnerie, ce n’est pas le cas. Cette activité doit encore être valorisée, les débouchés dans le Bâtiment ne manquent pas.
Ouverture ce matin dès 8h30, l’AFPAR veut mettre un coup de projecteur sur les métiers de la maçonnerie et d’installation de réseaux câblés. Les formations d’une durée de 7 mois sont accessibles dès la 3ème, pour des jeunes qui ont envie d’intégrer une formation professionnelle. « Nos sections n’accueillent pas plus de 16 stagiaires car il s’agit de formation personnalisée », souligne Fabienne Louvet, Chargé de communication à l’AFPAR. La formation d’installateur de réseaux câblés attire chaque année des candidats, car le métier est très porteur. En revanche, la maçonnerie, même si les débouchés sont garantis, a encore des difficultés à convaincre. « Malgré les efforts de la FRBTP pour valoriser la maçonnerie, elle ne l’est pas encore assez. Pourtant, le métier est moins pénible qu’autrefois et c’est un secteur porteur, non seulement en raison des grandes infrastructures comme la route des Tamarins, mais aussi il va falloir construire des logements sur une quinzaine d’années », rappelle Fabienne Louvet.
Pour amener les stagiaires vers l’emploi, l’AFPAR prévoit une période de formation en entreprise, au moins de quatre semaines. Grâce à ce contact avec l’entreprise, les stagiaires sont parfois recrutés directement. Plus de 50% des stagiaires trouvent ainsi un emploi. A 15 ou 16 ans, on peut cependant encore douter de l’orientation à choisir. L’AFPAR dispose pour cela de deux psychologues qui s’assurent que les personnes sont prêtes pour la formation envisagée. Très peu de stagiaires font fausse route, et dans ce cas, l’AFPAR n’hésite pas à réorienter le stagiaire vers un autre projet.
E. P.
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