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Malgré un cyclone, la saison des pluies accuse un déficit de 28% par rapport à la moyenne. Pour que personne ne soit privé d’eau ces prochains mois. Un effort collectif s’impose
16 mai, par
Alors que l’île entre dans la saison sèche, La Réunion fait face à une menace grandissante : le manque d’eau. Malgré le passage du cyclone Garance, qui a provisoirement fait grimper les niveaux des rivières et réservoirs, la saison des pluies 2024 s’est révélée insuffisante. Selon Météo France, elle accuse un déficit de 28 % par rapport à la normale. Or, cette période, de décembre à avril, représente habituellement 80 % de la recharge annuelle en eau.
« Bien que Garance nous ait amené une certaine quantité d’eau, malheureusement, sur l’ensemble de la saison, depuis le mois de décembre jusqu’au mois d’avril, la situation pluviométrique, selon les données de Météo France, est déficitaire », alerte Faïçal Badat, directeur de l’Office de l’eau de La Réunion.
Cette situation inquiète d’autant plus que la consommation moyenne d’eau potable par habitant à La Réunion est estimée à 180 litres par jour. Une quantité considérable, bien supérieure aux recommandations de sobriété, et qui pourrait aggraver les tensions sur les ressources hydriques dans les mois à venir.
Un usage quotidien souvent excessif
190 litres, c’est ce que chaque Réunionnais utilise, en moyenne, chaque jour. Cela comprend les douches, les toilettes, la cuisine, le lavage de la voiture ou encore l’arrosage du jardin. À titre de comparaison, une douche de 10 minutes consomme environ 120 litres. Il est donc facile d’atteindre, voire de dépasser, ce seuil sans y prêter attention.
L’enjeu est désormais de taille : si cette tendance à la surconsommation perdure, des coupures d’eau pourraient survenir dans certaines zones dès les prochaines semaines. Déjà en 2023, et 2024 plusieurs communes de l’Est et du Sud de l’île avaient connu des restrictions. Le manque de précipitations en cette fin de saison humide risque de reproduire, voire d’aggraver, le phénomène.
Économiser l’eau : un devoir collectif
Il s’agit également de repenser notre rapport à l’eau : chaque litre économisé est un litre qui restera disponible pour les besoins vitaux. Dans une île où les ressources sont limitées et où la topographie complique parfois la distribution, la préservation de l’eau est un enjeu majeur de durabilité.
Vers une gestion plus résiliente
Les autorités travaillent aussi à améliorer les infrastructures et à sécuriser les captages. Mais ces solutions techniques, coûteuses et lentes à mettre en œuvre, ne peuvent suffire si les comportements ne changent pas. La sécheresse, autrefois exceptionnelle, tend à devenir plus fréquente avec le changement climatique.
Préserver l’eau, c’est aussi anticiper les années futures : à La Réunion, l’eau ne doit plus être considérée comme une ressource illimitée
M.M
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