
Comité de pilotage pour un espace agricole régional regroupant les Comores, La Réunion, Madagascar, Maurice et les Seychelles
30 avril, parConcrétiser l’Appel d’Antananarivo pour la sécurité et la souveraineté alimentaires de la COI
L’amas de plastique dans l’Océan pacifique peut être nettoyé en cinq à 10 ans
10 septembre 2024
L’amas de plastique qui flotte sur le nord de l’océan Pacifique pourrait être nettoyé d’ici dix ans pour un coût de 7,5 milliards d’euros.
D’ici quelques années, le déploiement de drones permettra de cartographier la masse flottante.
La grande quantité de plastique pourrait être nettoyée en cinq ans et pour un coût de 4 milliards d’euros, selon The Ocean Cleanup.
Auparavant, l’organisation du Néerlandais Boyan Slat avait indiqué que ce plastique serait de l’histoire ancienne d’ici 2040. Pourtant aujourd’hui encore, "il s’agit là d’un avertissement brutal" car les océans suffoquent sous le plastique
Les masses de plastique peuvent être cartographiées à l’aide de drones volants, permettant de réduire les risques. En effet, sur la base de cette détection, un itinéraire intelligent peut être déterminé pour nettoyer plus efficacement l’amas de plastique, qui est toujours en mouvement.
De plus, cette masse n’est pas concentré partout de la même manière. L’utilisation de drones volants permet d’économiser du temps et de l’argent, explique un porte-parole de The Ocean Cleanup.
The Ocean Cleanup atteste qu’il est nécessaire de mettre en place des budgets pour mener cette opération. L’organisation appelle donc autorités, entreprises, individus et organisations à faire des dons.
"Des océans propres peuvent être obtenus dans un délai raisonnable et à un coût raisonnable", a expliqué Boyan Slat. D’après lui, les moyens nécessaires pour nettoyer les océans existent. "Nous avons montré au monde que l’impossible était à présent possible. La seule chose qui manque, c’est la personne qui s’assurera que ce travail est fait."
Concrétiser l’Appel d’Antananarivo pour la sécurité et la souveraineté alimentaires de la COI
Tikok la trouv in nouvo zé. Rékréasion li zoué èk son dalon Tikarl : « Kalkil in sif, Tikarl ! Dopi inn ziska 1000 ! – Nèf ! Tikarl i di. – Di (…)
Le vaccin Ixchiq du laboratoire franco-autrichien Valneva disposait « de toutes les autorisations de mise sur le marché et des avis scientifiques (…)
La baisse des prix des carburants se confirme en ce mois de mai, influencée par un dollar affaibli et l’anticipation des marchés pétroliers et une (…)
Wala in kozman mi koné dopi lontan é mi arète pa poz amwin késtyon dsi sète afèr-la. Dabor si bondyé i pini pa galé mi panss sa i vé dir li (…)
Cela fait, déjà plusieurs mois maintenant, que la direction impose une restriction budgétaire aux Postier.es qui font toute la richesse de La (…)
À l’occasion du 5e Sommet des Chefs d’État et de Gouvernement de la Commission de l’Océan Indien (COI), tenu à Antananarivo (Madagascar), Son (…)
À compter du 17 mai, journée internationale de lutte contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie (IDAHOT), de nombreux événements LGBTQIA+ (…)
Le président français Emmanuel Macron a demandé le 24 avril "l’intégration" du département français de Mayotte à la Commission de l’océan Indien (…)
À la suite de la journée de mobilisation du 22 avril menée dans toutes les antennes des Missions Locales de La Réunion, les Présidents des quatre (…)
Yannick Neuder, ministre de la Santé, en visite à La Réunion, s’est rendu au CHU Sud à Saint-Pierre, où l’épidémie de chikungunya était au cœur (…)
"Toute La Réunion s’inquiète de la réaction tardive de l’État sur la crise du chikungunya", a indiqué la sénatrice de La Réunion, Audrey Bélim, (…)