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L’Annuaire du PNUE met le monde face à une contradiction
16 février 2012
Faire progresser rapidement les techniques de gestion de nos précieux sols sera la clé de la sécurité alimentaire, de la gestion des ressources en eau et du climat au 21e siècle, estime le PNUE. Car une mauvaise gestion des sols libère des quantités considérables de CO2 enfermées depuis des millénaires à quelques pieds sous terre, ce qui accélère alors le changement climatique.
Selon l’Annuaire du Programme des Nations Unies pour l’environnement 2012, au cours du siècle dernier, 24% de la surface terrestre mondiale a déjà été touchée par les conséquences de la gestion non durable des sols : parmi lesquelles une baisse de la santé et de la productivité des sols.
L’Annuaire du PNUE 2012 met en avant une série d’évaluations qui indiquent que certaines formes d’agriculture conventionnelle et intensive déclenchent un phénomène d’érosion des sols près de 100 fois supérieurs au taux à laquelle la nature façonne les sols en premier lieu.
Si nous ne changeons pas nos techniques de gestion des sols, seuls 20% des habitats terrestres (tels que les forêts, les tourbières et les prairies) dans les pays en développement pourront encore être convertis en terres cultivées d’ici 2030, ce qui aggravera encore davantage la perte de services éco systémiques vitaux et la disparition de la biodiversité.
La détérioration des sols pourrait également avoir des implications profondes dans le mécanisme des changements climatiques. En effet, les sols contiennent d’énormes quantités de carbone, sous forme de matière organique, qui se lient aux autres éléments nutritifs nécessaires à la croissance des plantes et qui permettent aux précipitations de pénétrer dans les nappes phréatiques souterraines.
Au cours du 19e siècle, on estime que 60% du stock de carbone emprisonné dans les sols et dans la végétation a été relâché à la suite des changements dans la façon dont nous utilisons les terres (le défrichement pour l’agriculture et l’urbanisation).
Selon certaines estimations, plus de 2.200 gigatonnes (Gt ou milliards de tonnes) de carbones sont stockées dans le premier mètre de la couche supérieure des sols de la planète, soit 3 fois plus que le taux de carbone présent actuellement dans l’atmosphère de la Terre.
Si les modèles de gestion des terres utilisés actuellement demeurent inchangés, des quantités croissantes de carbone pourraient donc être libérées dans l’atmosphère, aggravant le réchauffement climatique lié à la combustion de combustibles fossiles.
L’Annuaire du PNUE 2012, lancé à la veille de la 12e session extraordinaire du Conseil d’administration du PNUE/Forum ministériel mondial sur l’environnement, pointe du doigt les tourbières comme étant des zones particulièrement risquées.
L’assèchement des tourbières, particulièrement riches en carbone, engendre actuellement des émissions équivalentes à plus de 2 Gt de CO2 par an, soit six pour cent des émissions anthropiques de gaz à effet de serre.
Aujourd’hui, les tourbières subissent un taux de dégradation 20 fois plus rapide que la vitesse à laquelle la tourbe s’accumule, il en va donc de même pour le stockage du carbone.
(Source PNUE)
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