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Des batteries de voitures...
29 mai 2007
Des batteries de voitures ont été récoltées dans des ravines ou chez des particuliers pour ensuite être disposées sur le trottoir des bureaux de la DRIRE dimanche dans la matinée. Il était prévu de les déposer sur celui de la Sous-Préfecture situé en face de la DRIRE (Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement). S’il en avait été ainsi, les militants de l’Organisation des Consommateurs Respectueux de l’Environnement (OCRE) initiateur de « cette action symbolique » auraient dû payer une amende. De surcroît salée ! Ils ont préféré, pour alerter les autorités, la première solution.
1800 tonnes de batteries traitées par an
Parmi les participants à cette opération, Véronique Denès des Verts et conseillère régionale par ailleurs. Elle fait remarquer « l’association de traitement des batteries de La Réunion traite 1800 tonnes de batteries par an ». Et « 80% des importateurs de batteries réunionnais adhèrent à cette association », ajoute-t-elle. Mais, elle s’interroge sur « les 20% » manquants. Ils vont à n’en pas douter dans les ravines, fronts de mer ou se retrouvent sur les trottoirs.
Les revendeurs ont obligation de les récupérer
Véronique Denès s’inquiète du nombre de batteries importées depuis le développement considérable de la voiture dans l’île. Où sont passées toutes ces batteries ? Un texte de loi le décret n°99-374 du 12 mai 1999 oblige les revendeurs à récupérer les batteries qu’ils ont vendues. Ce qui dit la loi, force est de constater que des personnes passent outre !
Des effets néfastes
Pour revenir à « cette action symbolique », il convient d’attirer l’attention du public sur le contenu des batteries : du plomb et de l’acide. Des produits dangereux. Imaginez un peu une batterie jetée dans la nature, et le plomb et l’acide qui s’incrustent dans le sol. Et qui doucement coulent dans les nappes phréatiques. À terme, l’eau est polluée et c’est nous qui la buvons ! En bout de course, nous pouvons être malades, car ces produits toxiques attaquent les reins, le foie ou le cerveau ! Par cet acte, l’OCRE veut informer l’opinion des effets néfastes des batteries.
Jean-Fabrice Nativel
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