
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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16 mai 2011
Au moment où les ministres de la Pêche du monde entier se réunissent à Bruxelles, en Belgique, pour discuter de l’avenir des accords de pêche entre l’UE et les pays étrangers, Greenpeace-Afrique a lancé un appel pour un partenariat plus équitable et plus durable en matière de pêche qui va protéger les moyens de subsistance des communautés de pêcheurs vivant en Afrique de l’Ouest.
Environ un quart du nombre de poissons péchés par la flotte de pêche européenne provient des eaux hors UE, notamment des eaux poissonneuses de l’Afrique de l’Ouest.
Ce nombre devrait augmenter au moment où les stocks de poissons européens sont en baisse en raison de la surexploitation des fonds de pêche, indique Greenpeace-Afrique dans un communiqué.
Depuis avril, des pécheurs africains originaires du Sénégal, de la Mauritanie et du Cap-Vert effectuent une tournée européenne pour dénoncer les effets des activités de pêche de l’UE sur leurs moyens de subsistance, dans le cadre du projet “Des voix africaines” initié par Greenpeace.
Au cours du mois dernier, les pécheurs sélectionnés ont eu l’opportunité d’exprimer leur frustration et de proposer des solutions en Belgique, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Luxembourg, en France, en Autriche et en Espagne.
« L’UE doit devenir un acteur responsable »
« Il y a trois semaines, la délégation des pécheurs africains a rencontré la commissaire à la Pêche de l’UE, Mme Maria Damanaki, pour lui expliquer les difficultés auxquelles leurs familles et eux-mêmes font face », souligne le communiqué.
« Lors de cette rencontre, les pécheurs ont dénoncé les abus liés à la surexploitation des fonds de pêche dans l’espoir que leurs voix influeront sur la réforme actuelle de la politique de pêche commune de l’UE », ajoute-t-il.
« L’UE doit devenir un acteur responsable, promouvoir de bonnes pratiques de pêche, une gouvernance efficace afin de maintenir et renforcer la pérennité des moyens de subsistance provenant de la mer pour tous », a déclaré la chargée de campagne océan pour Greenpeace-Afrique, Mme Oumy Sène.
La pêche effectuée dans les eaux étrangères par l’UE a généralement lieu le long des côtes des pays en développement.
La flotte de l’UE cause des dommages significatifs à l’environnement et menace les moyens de subsistance des communautés locales de pêcheurs.
Les contribuables européens contribuent chaque année à hauteur de 158 millions d’euros pour permettre l’accès des chalutiers aux zones de pêche étrangères.
Des écosystèmes détruits
« La réforme des lois qui régissent le domaine de la pêche au sein de l’UE aura un impact important sur la santé de nos océans, de la Baltique à la Méditerranée et de l’Atlantique à l’océan Indien », a déclaré le directeur de la politique de pêche de Greenpeace, Saskia Richartz.
« Elle aura également des conséquences sur l’avenir des communautés de pêcheurs à travers le monde. Les ministres de la Pêche doivent reconnaître que la surexploitation des fonds de pêche ne peut pas continuer et que la durabilité doit être au centre des accords de pêche avant qu’il ne soit trop tard », a-t-il ajouté.
« Le système de pêche actuel est vraiment irrationnel. J’aimerais demander aux Européens de nous aider en cessant d’envoyer des chalutiers de fond et des bateaux qui détruisent notre écosystème. Je pêche depuis 21 ans et je crains de devoir arrêter », a déclaré un pécheur installé sur la côte mauritanienne, Harouna Ismael Lebaye.
Selon les statistiques fournies par l’UE, elle pêche environ 1,2 million de tonnes de poissons par an à l’étranger dont 400.000 tonnes proviennent essentiellement de la côte de l’Afrique de l’Ouest.
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