
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Protection de la nature
22 février 2013
Voici un communiqué de la Commission de l’océan Indien (COI) relatif à un renforcement de son partenariat avec l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) pour aider les îles à préserver leurs richesses naturelles, et notamment lutter contre l’introduction et la propagation des espèces exotiques envahissantes.
La Commission de l’océan Indien (COI) et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) renforcent leur partenariat pour aider les milieux insulaires à réduire la perte de leurs richesses naturelles, en luttant contre l’introduction et la propagation des espèces exotiques envahissantes. Après la destruction des habitats naturels par l’Homme, les espèces invasives sont la seconde cause de disparition des espèces dans le monde, et peut-être même la première dans les îles. Les écosystèmes insulaires sont en effet plus fragiles que la plupart des écosystèmes continentaux face aux espèces invasives, et pour lutter contre ce fléau, un effort collectif s’impose.
Grâce à une subvention de l’Union européenne, l’UICN met en œuvre un projet d’une durée de 5 ans intitulé « Développement d’un modèle intégré pour la gestion et la dispersion des espèces exotiques envahissantes (EEE) dans les écosystèmes insulaires ». Ce projet, au profit des îles des régions Caraïbes, Pacifique et océan Indien, vise à améliorer la qualité de vie des populations insulaires et à préserver leur patrimoine naturel en réduisant l’impact des invasions biologiques sur leurs richesses naturelles (la biodiversité) et les activités économiques qui en dépendent.
Les résultats attendus du projet sont :
- L’amélioration de l’état des connaissances, de la sensibilisation et de l’expertise en matière de prévention et de gestion des invasions biologiques néfastes dans les îles ;
- Le développement de partenariats, l’établissement ou le renforcement des pratiques de gestion collaborative des invasions biologiques sur les îles ;
- La prévention et la gestion des invasions biologiques dans des sites pilotes de la région océan Indien pour déterminer des indicateurs de bonnes pratiques ;
- Le développement de stratégies pour renforcer les politiques nationales, régionales et globales, ainsi que la mise en œuvre d’actions pour mieux prévenir et gérer les invasions biologiques.
A terme, l’ensemble de ces activités vise à créer un modèle global qui pourrait être appliqué de manière systématique aux îles, tout en prenant en compte les spécificités bioclimatiques, notamment dans les régions tropicales où il reste tant à faire. Par la suite, la création d’un centre régional d’excellence insulaire de lutte contre les espèces envahissantes permettra d’ancrer les bonnes pratiques, tout en pérennisant les actions menées. Ce centre s’appuiera sur les structures existantes et travaillera en partenariat avec les institutions régionales et les pays concernés.
L’UICN collaborera ainsi étroitement avec la COI pour la mise en œuvre de ce projet au niveau de la région de l’océan Indien. La COI héberge ce projet dans l’objectif de valoriser la coopération régionale, interrégionale, et de renforcer la coordination entre les institutions et projets travaillant sur cette thématique. Cette collaboration permettra aux deux institutions de partager leurs savoir-faire et leurs compétences et ainsi d’aider les populations à préserver les ressources naturelles dont elles dépendent fortement.
• La COI Créée en 1982 à Port-Louis (Maurice) et institutionnalisée en 1984 par l’Accord général de Victoria (Seychelles), la Commission de l’océan Indien (COI) est une organisation qui regroupe cinq États membres (Comores, France/Réunion, Madagascar, Maurice, et Seychelles). La COI s’est donné pour mission de resserrer les liens d’amitié et de solidarité entre les populations, et de bâtir des projets de coopération régionale destinés à les protéger, améliorer leurs conditions de vie et préserver les ressources naturelles dont elles dépendent fortement. Seule organisation régionale africaine composée exclusivement d’îles, elle défend leurs intérêts insulaires sur la scène régionale et internationale. Plateforme de coopération régionale, elle permet de mutualiser les ressources et les compétences pour mieux répondre à des problèmes souvent transfrontaliers. Elle contribue à structurer des réseaux régionaux d’hommes et de femmes pour partager des informations, des expériences et des bonnes pratiques, et ainsi tracer la voie d’un développement plus durable et solidaire. www.coi-ioc.org • L’UICN L’UICN, l’Union internationale pour la conservation de la nature, aide le monde à trouver des solutions à nos défis les plus urgents en matière d’environnement et de développement, en soutenant la recherche scientifique, en gérant des projets partout dans le monde, et en réunissant des gouvernements, des ONG, les Nations unies, les conventions et les sociétés internationaux afin de développer ensemble des politiques, des lois et de bonnes pratiques. L’UICN, le plus ancien et le plus vaste réseau environnemental du monde, est une union démocratique de plus de 1.000 membres, gouvernements et ONG, et de près de 11.000 scientifiques bénévoles répartis dans plus de 150 pays. Le travail de l’UICN est soutenu par plus de 1.000 professionnels dans 60 pays et par des centaines de partenaires des secteurs publics et privés et des ONG dans le monde entier. Le siège de l’UICN est situé à Gland, près de Genève, en Suisse. www.iucn.org |
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Messages
24 mars 2013, 11:20, par dejean
Bonjour,
Je ne sais plus vers qui me tourner comment faire pour se faire entendre.En Juin 2003 je quitte la Métropole en urgence pour cause de décés de mon pére. Étant dans la détresse,le Parrain de mon Fils me propose d’y aller et qu’il remettrait mes clés au gardien.Je reçois une lettre de la trésorerie de l’office des HLM me réclamant la somme de 10196,64 euros pour les mois 2003/2004/jusqu’ant 2007 ,des loyés que je n’ai pas occupés vu je vie à la réunion.je suis au RSA ,vu aviez du ententre le Monsieur qui vous a appelez pour ses difficultées et se retrouve bloqué au niveau de sa banque.Ce monsieur me demande de lui faire un chéque de 1050 euros et qu’il verssera du liquide sur mon compte pour son proiétaire qui se retrouve en métropole,mon compte est bloqué ; par la trésorerie et que ce monsieur risque de se trouver à la rue si son chéque et rejeté que faire
27 mars 2013, 16:11, par Aimé TECHER
L’association A.O.M. a vocation humanitaire peut essayer de voir plus clair dans ce dossier decrit par Dejean.
Nous sommes habitues a intervenir aupres des instances des H.L.M.Si notre compatriote veut bien que nous intervenions voici notre adresse electronique. Je l invite a me communiquer son numero de telephone afin que je puisse le contacter des que possible.
Nous sommes au service des compatriotes qui vivent en Metropole ou qui ont vecu.
adresse electronique.
[email protected]