
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Rapport de l’ADEME
10 octobre 2013, par
Deux semaines après la présentation du rapport du GIEC, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie a rendu publique mardi 8 octobre, son étude sur les tendances en matière d’efficacité énergétique à l’échelle mondiale, lors du Congrès mondial de l’énergie.
Basée sur 85 pays, représentant plus de 90 % du total de la consommation mondiale d’énergie, l’étude vise à évaluer le développement rapide de l’étiquetage sur les équipements et les produits électroménagers ainsi que des normes minimales d’efficacité énergétique. Mais aussi la consommation d’énergie dans le monde du foyer aux transports.
Vers une généralisation des normes
La politique d’efficacité énergétique se concentre sur la définition de standards, de normes, la mise en place de labels, de mécanismes financiers, voire de mesures fiscales. L’objectif est d’améliorer l’efficacité énergétique des États, afin de réaliser des économies d’énergie et de réduire l’impact environnemental de la production et de la consommation d’énergie.
L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) a indiqué que 100 % des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 90 % des pays d’Asie, et 50 % des pays d’Afrique étudiés ont introduit un étiquetage des performances des équipements, voire des bâtiments, le plus souvent obligatoire. Malgré les efforts fournis, l’agence note un ralentissement depuis 2008 des progrès réalisés dans le monde en matière d’efficacité énergétique.
Faute à la crise économique dans les pays développés, les investissements dans la maîtrise d’énergie ont diminué. Mais pour l’ADEME, des pays comme la Chine, l’Inde, la Russie, pèsent sur l’économie mondiale, car ils consomment encore beaucoup d’énergie, selon leur produit intérieur brut. La plupart des pays européens ont eux réduit leur consommation totale d’énergie primaire par unité de PIB au cours des trois dernières décennies. Une amélioration due aux meilleures performances énergétiques des véhicules, appareils électriques, chauffage des locaux et processus industriels.
Baisse de la consommation globale d’énergie
La consommation d’énergie par ménage diminue sur tous les types d’énergie confondus (– 0,8 %), bien qu’il y a une forte progression des consommations d’électricité spécifique (smartphone, informatique, appareils électro-ménagers, Hi-Fi, télévision, etc.) et une très grande disparité. La seule "fonction veille" des ordinateurs et autres smartphones représente en moyenne 10 % de la facture d’électricité d’un ménage, a indiqué “Le Monde”.
L’intensité énergétique des transports diminue partout, en raison des mesures mises en place pour réduire la vitesse sur les routes ou pour améliorer l’efficacité énergétique des nouveaux véhicules. De plus, l’efficacité énergétique s’est dégradée sur le plan de la transformation de l’énergie. En effet, l’utilisation de l’électricité s’est fortement développée et sa fabrication reste encore basée sur des centrales thermiques, rendant moins performante en termes d’efficacité énergétique que la transformation de produits pétroliers ou de gaz.
En France, François Hollande a fixé un objectif de 30% de consommation d’hydrocarbures en moins d’ici 2030. Auquel s’ajoute celui visant à ramener de 75 à 50% d’ici 2025 la part du nucléaire dans la production électrique et celui permettant de réduire la consommation d’énergie finale de 50% à l’horizon 2050. Des objectifs qui auraient pu être perpétré dès 2010 à La Réunion, notamment en matière de développement des énergies renouvelables, de diminution d’énergie fossile avec le réseau ferret et de réduction d’émission de gaz à effet de serre.
Céline Tabou
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