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La pêche dans notre région à l’ordre du jour du Parlement
28 juillet 2012, par
Le 25 juillet dernier, l’Assemblée nationale a adopté un projet de loi autorisant l’accord relatif aux pêches dans le Sud de l’océan Indien. Ce texte a été déposé le lendemain au Sénat. L’exposé des motifs confirme que notre île est au milieu d’un océan de richesses. En effet, le quart des captures de la flotte française s’effectue dans l’océan Indien.
Le Parlement est actuellement saisi d’un projet de loi visant à autoriser la ratification d’un accord international sur les pêches dans le Sud de l’océan Indien. Ce débat est très instructif, il permet des rappels à partir desquels nous pouvons imaginer des perspectives.
Du rapport de ce projet de loi et de l’exposé des motifs ressortent plusieurs données importantes. Pour la France, une souveraineté dans l’océan Indien est essentielle. Notre île est située dans une zone économique exclusive de 2,7 millions de kilomètres carrés, qui comprend notamment les archipels des Kerguelen, les îles Crozet, Saint-Paul et Amsterdam. Toute cette superficie représente un quart du domaine maritime de la République, et neuf fois la zone de pêche bordant le littoral de la France.
D’après un rapport du Sénat de 1996, c’est dans l’océan Indien que la pêche française réalise un quart de ses prises, 62% de celles des thonidés. La proportion pour ce type de poisson est de 3,5% pour l’Atlantique et de 1,9% pour le Pacifique.
Ces immenses richesses ont un beau potentiel, car à la différence des eaux de l’Atlantique Nord et de la Méditerranée, l’océan Indien est encore préservé des effets de la surpêche qui a vidé les mers de l’autre hémisphère. L’accord de pêche qui doit être ratifié propose la création d’une nouvelle organisation de gestion pour les espèces non thonières dans le Sud de l’océan Indien. Dans notre région, il est encore temps d’agir pour sauver l’essentiel, et donc garantir aux générations futures la possibilité d’avoir une ressource à pêcher.
Nous avons donc là un gisement de richesses et d’emplois à partir de l’océan qui nous entoure.
Dans cet océan de richesses, quelle est la part de La Réunion ?
M.M.
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