
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Protection de la Nature
17 mai 2014
Le directeur exécutif de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UN Office on Drugs and Crime, UNODC), Yury Fedotov, a exhorté la communauté internationale à « nous réunir au plus haut niveau politique » pour mettre un terme à l’escalade du crime contre la faune et la forêt.
Il a indiqué que 8 ou 10 milliards de dollars américains récoltés chaque année de ce « commerce impitoyable », le place en termes de profits illégaux à côté du trafic d’êtres humains, d’armes et de drogues.
« Le taux de braconnage est tel qu’un nombre d’espèces iconiques et moins connues risque d’être anéanti au cours de la prochaine décennie et nous allons tous porter la responsabilité pour ces pertes », a mis en garde M. Fedotov lors d’un événement spécial qui se déroule à Vienne, en Autriche, en marge de la 23ème session de la Commission pour la prévention du crime et de la justice criminelle.
Le braconnage à grande échelle et autres exploitations illégales de la faune et de la flore ont besoin d’être reconnus partout pour ce qu’ils sont : un grave crime transnational organisé qui nécessite une législation effective et des systèmes de justice pénale.
Il a rappelé que la Conférence de Londres qui a pris place en février 2014 s’est ajoutée aux engagements politiques exprimés à Paris, à Gaborone, à Marrakech et à Bishkek en 2013.
« Nous devons maintenant traduire notre détermination en actions concrètes et canaliser cet élan à l’Assemblée générale », a déclaré le patron de l’UNODC.
Soulignant que cette tragédie est une responsabilité partagée, M. Fedotov a expliqué que l’UNODC travaille avec les gouvernements et les partenaires, tels que le Consortium international de lutte contre la criminalité et la vie sauvage, (International Consortium on Combating Wild Life Crime, ICCWC), pour améliorer la législation, renforcer l’application de la loi et les systèmes de justice pénale qui peuvent mener des enquêtes, poursuivre et juger des criminels dans des pays d’origine et les marchés finaux et forger une coopération internationale.
Il a en outre annoncé que l’UNODC va bientôt lancer le Programme mondial de lutte contre la criminalité de la faune et des forêts (Global Programme for Combating Wildlife and Forest Crime) qui va fournir une assistance régionale et nationale pour appuyer l’application de la loi et mettre en place la législation pour lutter contre ce crime.
« Il s’agit également de renforcer les capacités juridiques et d’enquêtes, de poursuite et de combattre, par ailleurs, les questions liées au blanchiment d’argent et à la corruption. Il va aussi soutenir les Etats dans leurs efforts visant à introduire les moyens de subsistance dans les communautés affectées », a-t-il annoncé.
M. Fedotov a, cependant, souligné que la seule application de la loi ne peut éliminer le crime contre la faune et il a mis en exergue la nécessité de s’attaquer aux dimensions sous-jacentes de cette évolution.
« L’éducation et les campagnes de sensibilisation sont nécessaires pour réduire la demande sur la faune et la flore protégées, avec des efforts pour promouvoir des moyens de subsistance durables pour les communautés dans les pays d’origine où la pauvreté et leur manque d’opportunités économiques poussent plusieurs personnes à s’engager dans cette entreprise criminelle », a-t-il déclaré.
Il a également déclaré qu’il espère que davantage de pays vont mettre en œuvre l’outil analytique de l’ONUDC relatif au crime de la faune et de la forêt élaboré par l’ICCWC pour évaluer les réponses préventives et la justice pénale des pays contre ces crimes, suivant l’exemple du Gabon, du Népal, du Bangladesh et du Pérou.
D’autres initiatives de l’UNODC incluent la récente campagne "Soyez un voyageur responsable", (Be a responsible traveller) conjointement lancée avec l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) pour réduire la demande en produits animaux, en plantes exotiques et en produits de bois en voie de disparition.
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