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Réduction des émissions de gaz à effet de serre
5 avril
L’Organisation maritime internationale se réunit à partir du 7 avril dans le but d’approuver des mesures majeures pour réduire les émissions du transport maritime. Mais le consensus semble encore loin.
Les États membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) se réunissent afin d’approuver des mesures majeures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) du transport maritime.
Mais le consensus est loin. Le but de ses mesures, que les membres de l’OMI se sont engagés à adopter avant la fin de l’année 2025, est d’atteindre par palier l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050. Cela représente 40% de réduction en 2030 par rapport à 2008, puis 80% en 2040.
Le transport maritime représente près de 3% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon l’OMI. Les désaccords entre États restent cependant profonds avant le Comité de la protection du milieu marin (MEPC-83) de l’OMI la semaine prochaine, qui doit permettre d’obtenir un premier accord attendu vendredi.
Les États-Unis sont la grande inconnue des discussions, le pays ne s’étant pas prononcé sur le sujet depuis l’arrivée au pouvoir de l’administration républicaine.
Il est encore « difficile de dire ce qui va se passer la semaine prochaine », a indiqué Fanny Pointet de l’association environnementale Transport & Environment à l’AFP, car les positions se divisent en trois camps.
Le premier groupe, mené par les États insulaires du Pacifique et des Caraïbes, rejoints par le Royaume-Uni, réclame un système de taxe carbone, dans un principe de pollueur-payeur appliqué aux navires.
Les revenus de ce prélèvement seraient ensuite redistribués en faveur des pays les plus vulnérables au réchauffement climatique pour financer leur transition énergétique. « Le changement climatique est une réalité terrifiante et vécue par mon pays », a indiqué l’ambassadeur Albon Ishoda, représentant des Îles Marshall à l’OMI.
Le deuxième groupe d’une quinzaine de pays, dont le Brésil et la Chine, s’oppose fermement à un système de taxe carbone. Car celui-ci augmenterait selon eux les inégalités entre les pays et mettrait à risque la sécurité alimentaire en accroissant le coût du transport de certaines marchandises de base tel que l’huile de palme, les céréales ou le maïs.
Auparavant favorable au prélèvement carbone proposé par le premier groupe, l’Union européenne propose, elle, une troisième voie, avec la création d’un marché mondial des crédits carbone se rapprochant de sa propre législation déjà existante.
Le groupe de recherche sur le transport maritime et les océans de la University College London (UCL) a estimé qu’un tel système « peut conduire à des conditions de concurrence inégales », favorisant les pays « dotés d’une politique industrielle et d’aides d’États », tout particulièrement la Chine.
Pour le groupe, la transition « la plus rapide et la moins coûteuse » serait obtenue « grâce à une taxe forte sur les émissions », ainsi qu’une norme fixant l’objectif de réduction progressif du fioul et déterminant les carburants alternatifs autorisés ou non.
Fanny Pointet a expliqué qu’en l’absence de critères sur ces carburants alternatifs, certains à base d’huile de palme et de soja, associés à des émissions indirectes à cause de la déforestation, pourraient être utilisés.
Alors que le Brésil défend le rôle clé de ces biocarburants, plus de 60 ONG de protection de l’environnement se sont prononcées contre leur inclusion dans le futur mix énergétique du transport maritime.
Les associations cherchent à favoriser d’autres solutions, comme des carburants synthétiques à base d’hydrogène, actuellement très coûteux à produire, ou les installations sur les bateaux de propulsions éoliennes.
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