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Projet Life+ Corexrun–Grande Chaloupe
4 février 2011
Dans le cadre du projet Life+ Corexrun (projet de conservation et de restauration de la forêt semi-xérophile de La Réunion), les habitants de la Grande Chaloupe ont été invités à participer au programme de reconstitution de la forêt semi-sèche de la zone. Des agents du Parc national sont donc partis à la rencontre de ces habitants hier pour leur expliquer « les enjeux de cette reconstitution » ainsi que pour leur distribuer un kit de production. Une journée d’information accueillie favorablement par les habitants. À terme, ce sont près de 100.000 plants endémiques et indigènes qui doivent être réintroduits dans la forêt semi-sèche de la Grande Chaloupe.
Les forêts sèches sont les plus menacées au monde. À La Réunion, avec moins de 1% de sa surface d’origine cet habitat est constitué de quelques îlots fragmentés possédant 76% des espèces protégées de l’île. Son état de conservation est donc considéré comme critique. Les reliques les mieux conservées se situent sur le site de La Grande Chaloupe (massif de La Montagne, au nord de l’île). Pour restaurer et reconstituer ce milieu, l’Europe cofinance le projet Life+ Corexrun coordonné par le Parc national de La Réunion en partenariat étroit avec le Conservatoire du littoral, la DIREN, le Conseil régional et le Conseil général. Des centaines de milliers de graines ont déjà été récoltées par les agents du Parc national et mises en culture à la Pépinière du Théâtre. Elles permettront la production finale de 100.000 plants d’espèces indigènes qui seront réintroduits en milieu naturel en 2012 et en 2013 afin d’aider la forêt semi-sèche à se renouveler sur 40 hectares. La culture des plants sera organisée en trois étapes majeures. Les jeunes graines, boutures et marcottes provenant de la zone d’étude du projet sont mises en terre sur une zone de multiplication et d’acclimatation. Les jeunes plants obtenus sont ensuite repiqués et entreposés sur le site de production principal. Enfin, un sevrage progressif est réalisé afin de préparer les végétaux aux conditions difficiles de la zone de plantation (sécheresse, sols pauvres en nutriments, etc.). La première livraison de plants permettra le démarrage des actions de réintroduction en milieu naturel à compter de la fin d’année 2011.
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