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Nouvelle dimension aux impacts environnementaux mondiaux que les humains pourraient avoir
6 octobre 2023
D’après une étude scientifique menée par des chercheurs travaillant dans le parc national Greater Kruger en Afrique du Sud, les humains sont devenus le « super prédateur » du monde.
Le lion n’est plus le « roi de la savane ». Il a été détrôné par les humains. Longtemps considéré comme le carnivore le plus redoutable au monde, le lion n’est désormais plus le prédateur le plus effrayant pour les éléphants, rhinocéros, girafes et autres animaux sauvages.
Selon une étude scientifique conduite par des chercheurs travaillant dans le parc national Greater Kruger en Afrique du Sud, publiée dans la revue Current Biology et relayée par le Guardian, les animaux sauvages sont désormais deux fois plus enclins à s’enfuir et abandonner les points d’eau, 40% plus rapidement, s’ils entendent des bruits d’humains plutôt que les grognements des « superprédateurs ».
S’enfuir ou abandonner le point d’eau est une réaction observée chez 95% des espèces présentent dans le parc national - qui abrite l’une des plus grandes populations de lions restantes.
Pour mener leur étude, les scientifiques ont utilisé des systèmes de caméras et de haut-parleurs cachés dans des points d’eau. Les dispositifs se déclenchaient dès lors qu’un animal passait à moins de 10 mètres.
Les chercheurs ont décidé de privilégier les points d’eau qui sont des emplacements où les lions, et également les chasseurs, ont tendance à tuer leurs proies. Les chercheurs ont ainsi diffusé des sons d’humains en train de discuter, des grondements et des grognements de lions ou des bruits de chasse et ont également utilisé des cris d’oiseaux non menaçants comme « sons de contrôle ».
Les caméras ont capturé les réactions des animaux sauvages et, sur plusieurs vidéos, il est possible de voir des girafes, des léopards, des hyènes ou encore des phacochères ou des rhinocéros s’enfuir immédiatement après avoir entendu des voix humaines.
« La peur des humains dépassait largement celle des lions dans l’ensemble de la communauté des mammifères de la savane », ont souligné les chercheurs dans leur étude.
La chercheuse principale, la professeure Liana Zanette, de l’université Western Ontario, a expliqué au quotidien britannique The Guardian avoir été « surprise » par « l’ampleur de la réponse de la faune sauvage ». « Les lions devraient être la chose la plus effrayante qui soit – mais les humains étaient bien plus effrayants… Cela montre que nous sommes vraiment terrifiants pour les animaux ».
L’étude a évoqué plusieurs enquêtes menées en Australie, en Europe, en Asie et en Amérique du Nord, montrant que les humains tuent leurs proies à des taux plus élevés que n’importe quel autre prédateur, en raison, notamment de l’adoption des armes à feu et de la chasse avec des chiens.
Les chercheurs soutiennent que les humains sont désormais le « super prédateur » du monde. Sauf que ce « paysage de la peur », induit par les hommes, pourrait avoir des « effets en cascade tout au long de la chaîne alimentaire », ont alerté les chercheurs.
Même les rongeurs et les plantes pourront être affectés puisque les animaux vont modifier leur manière de se déplacer dans le paysage. « Fuir le point d’eau signifie qu’ils devront trouver un autre endroit pour boire – cela a un coût », a souligné Liana Zanette, auprès du Guardian.
Les impacts écologiques pourraient être « considérables », craignent les chercheurs, car « si la peur des humains est si omniprésente et touche tous les animaux de notre planète, alors elle ajoute vraiment une nouvelle dimension aux impacts environnementaux mondiaux que les humains pourraient avoir ».
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