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Sommet de l’Union européenne
11 décembre 2020
Les dirigeants de l’UE se sont engagés sur un plan de relance post-Covid, basé en grande partie sur un emprunt commun ’historique’. Un compromis a permis de rallier Pologne et Hongrie, mais les pourparlers continuent pour adopter un ambitieux objectif climatique.
Réunis à Bruxelles, les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-Sept se sont accordés pour sanctionner la Turquie, mais n’arrivent pas à s’entendre sur les modalités d’un nouvel objectif de réduction des gaz à effet de serre d’ici à 2030. Pourtant le déblocage sur le budget, acté lors du sommet, permettra de lancer un important fonds de transition énergétique.
Un accord a été adopté sur le paquet financier permettant à l’Europe d’emprunter solidairement pour relancer son économie, sans remettre en cause le nouveau mécanisme conditionnant l’octroi de ses fonds au respect de l’Etat de droit.
"C’est un signal fort, triomphant de l’égoïsme : l’État de droit s’appliquera partout", a salué le ministre allemand des Finances Olaf Scholz, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE.
Adoptés en juillet, le budget européen pour la période 2021-2027 (1.074 milliards) et le plan de relance (750 milliards d’euros) étaient bloqués depuis un mois par les vétos de la Hongrie et de la Pologne. Les deux pays s’opposaient à un mécanisme pouvant les priver de fonds européens en cas de violations des principes de l’État de droit (justice indépendante, politique anticorruption...).
Pour contrer leurs réticences, l’Allemagne a proposé que le mécanisme soit assorti d’une déclaration "explicative", précisant notamment la possibilité de saisir la Cour de justice européenne pour examiner sa légalité avant sa mise en application.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a indiqué que "nous pouvons dire, en toute modestie, que nous avons sauvé l’unité de l’Union (...)", lors d’une conférence commune avec son homologue polonais Mateusz Morawiecki. "Le mécanisme sera limité à des critères précis", qui excluent les questions de société (droit à l’avortement, droits LGBT) et politiques migratoires, c’est "une victoire", a lancé ce dernier.
"L’Europe avance, unie, et porte ses valeurs", a réagi le président français Emmanuel Macron, ravi de n’avoir "sacrifié ni la relance, ni l’Etat de droit". Or la déclaration n’a finalement "aucun effet légal" sur le mécanisme, "c’est un simple document qui permet à la Pologne et la Hongrie de sauver la face", a estimé l’eurodéputé Petri Sarvamaa (PPE, droite) rapporteur sur le texte.
Après de longs tractages, les Européens se sont accordés pour sanctionner la Turquie en raison de ses travaux d’exploration gazière dans des zones maritimes disputées avec la Grèce et Chypre.
La menace de représailles avait été mise sur la table en octobre, mais plusieurs pays bloquaient l’adoption des sanctions. En effet, "l’Allemagne redoute des flux migratoires, l’Italie a des liens énergétiques avec la Turquie, les pays de l’Est voient Ankara comme un allié de l’Otan important face à la Russie", a expliqué à l’Agence France Presse un diplomate européen.
La décision porte sur des sanctions individuelles, et des mesures supplémentaires pourront être décidées en mars lors d’un nouveau point d’étape, si la Turquie poursuit ses actions.
A la veille du 5ème anniversaire de l’Accord de Paris, les États membres devaient s’accorder sur une réduction des gaz à effet de serre d’"au moins 55%" d’ici 2030 par rapport au niveau de 1990, contre un objectif de 40% actuellement. L’objectif est d’arriver à la neutralité carbone visée pour 2050.
Mais les divergences persistaient sur les modalités et la répartition des efforts. Certains pays sont très dépendants du charbon, comme la Pologne, alliée à plusieurs pays de l’Est. Le pays redoute de lourdes conséquences économiques à ce plan climat, et exige des précisions sur les aides qu’elle obtiendrait, notamment via la future réforme du marché du carbone.
L’inclusion des "puits de carbone" naturels, comme les forêts, dans le calcul des émissions ne fait pas l’unanimité, ainsi que la mention des énergies moins émettrices de CO2 comme le gaz et le nucléaire.
Face aux Etats-Unis et à la Chine, "l’’UE ne peut pas se rater sur le climat après avoir été chef de file pendant douze ans", a indiqué une source européenne à l’Agence France Presse.
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