
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
3 juillet, parUne information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
COP15 à Abidjan de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification
14 mai 2022
L’économie mondiale pourrait augmenter de plus de 140 000 milliards de dollars par an, soit 1,5 fois le produit intérieur brut (PIB) mondial annuel, si les objectifs de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD) sont atteints. Les avantages de l’action contre la dégradation des terres l’emportent largement sur les coûts de la gestion durable des terres. En Afrique subsaharienne, la désertification coûte 490 milliards de dollars par an, une action visant à inverser la dégradation des terres pourrait générer des bénéfices d’une valeur allant jusqu’à 1 400 milliards de dollars, a indiqué en marge de la COP15 Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification.
Camilla Nordheim-Larsen, coordinatrice principale des partenariats et de la mobilisation des ressources à la Convention des Nations unies, a fait remarquer que l’action sur les terres pourrait générer jusqu’à 140 000 milliards de dollars par an et créer 400 millions de nouveaux emplois, tandis que l’inaction peut entraîner des pertes de l’ordre de 44 000 milliards de dollars. L’objectif de développement durable pour la vie sur terre est le moins financé, mais peut contribuer le plus à la résilience, a-t-elle affirmé, lors d’une session portant sur les mécanismes de financement innovants pour les paysages durables, organisé par la Banque africaine de développement et ses partenaires. Cette session a été organisée, mercredi 11 mai, en marge de la 15e Conférence des parties de la CNULCD qui se tient à Abidjan du 9 au 20 mai.
Le coût de l’objectif à atteindre peut sembler important, mais les gouvernements pourraient payer un prix encore plus élevé s’ils ne font rien. « Les avantages de l’action contre la dégradation des terres l’emportent largement sur les coûts de la gestion durable des terres. En Afrique subsaharienne, c’est jusqu’à sept fois plus ! L’inaction coûte aux pays subsahariens 490 milliards de dollars par an, alors que selon l’initiative « Economics of Land Degradation », une action visant à inverser la dégradation des terres pourrait générer des bénéfices d’une valeur allant jusqu’à 1 400 milliards de dollars », a alerté Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la CNULCD et ancien ministre de l’Environnement du Bénin, actuellement coprésident du Comité exécutif du mécanisme des avantages de l’adaptation.
Une information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Alors que Mayotte subit un enchevêtrement de crises - pauvreté structurelle, dégradation des services publics, conséquences dramatiques du cyclone (…)
La FSU Emploi Réunion tient à rappeler que la mise en œuvre des programmes de transformation de France Travail, issus de la loi Plein Emploi, ne (…)
Mézami, zot i rapèl lo mo kazou ? Mi anparl pa bann vyé roshé konm mwin mé la zénérassion d’apré. Si mi di kazou, kossa zot i oi dann zot (…)
Une délégation du "Collectif des usagers de la ligne Réunion - Comores" a été reçue le 2 juillet à la Région, à la demande de la Présidente (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)