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18 juillet 2012, par
170.000 Japonais ont manifesté dans les rues de Tokyo pour réclamer l’arrêt du nucléaire au Japon. Seize mois après la catastrophe de Fukushima, des centaines de milliers de personnes ont protesté contre le nucléaire, notamment la remise en service du réacteur de l’unité 3 de la centrale d’Ohi le 1er juillet dernier.
« Pas besoin d’énergie nucléaire ! Rendez-nous la région de Fukushima ! », ont scandé les manifestants, munis de drapeaux colorés. Sous le signe de la convivialité, les organisateurs ont mis en place des stands régionaux, des chants, des prises de paroles simultanées.
Éviter une nouvelle catastrophe
Le recours à l’énergie nucléaire a été expliqué par les autorités au lendemain de la manifestation, bien que celles-ci aient annoncé l’arrêt des centrales nucléaires et le développement des énergies renouvelables. Aujourd’hui, un seul des 50 réacteurs du Japon est en service, mais les compagnies d’électricité tentent d’en relancer d’autres.
Les compagnies devraient être satisfaites par les déclarations du Premier ministre, Yoshihiko Noda. Ce dernier a déclaré en juin que le pays avait besoin de remettre en service certaines centrales. L’objectif, selon les autorités, est d’éviter des pénuries d’électricité cet été. « Les températures aujourd’hui ont atteint des niveaux record », a indiqué le chef du gouvernement à la télévision japonaise lundi 16 juillet. En pleine saison chaude, la température est actuellement de 36,6° Celsius dans la capitale. Face à cette situation, le Premier ministre a affirmé que « nous devons nous demander si nous pouvons vraiment nous permettre de nous passer de l’énergie nucléaire ».
C’est dans un tel contexte que les Japonais ont décidé de se rendre à la capitale pour protester contre l’usage de l’énergie nucléaire. Un manifestant a d’ailleurs indiqué à l’“Agence France Presse” que « le Japon va se détruire en construisant des centrales nucléaires sur son territoire si exposé aux séismes ».
Développer les énergies renouvelables
Exposé aux tremblements de terre, le Japon possède une infrastructure adaptée, mais doit faire face aux changements climatiques et à ses conséquences telles que l’élévation du niveau de la mer. Le ministre de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie (Meti), Yukio Edano, a annoncé le 3 juillet la mise en place d’une loi de soutien aux énergies renouvelables pour faire décoller l’usage du soleil et du vent. Cette réglementation oblige les compagnies d’électricité à acheter le courant produit par les panneaux solaires, les éoliennes et la biomasse à un tarif plus élevé que celui du marché.
L’intérêt pour le pays est de passer d’une production nucléaire à une production verte. L’électricité nippone est moins de 2% issue du solaire, de l’éolien, de la géothermie et de la biomasse. En y ajoutant la production hydraulique, la part des énergies renouvelables atteint difficilement 10%, inférieure à celle de la plupart des autres pays industrialisés.
Actuellement, les autorités tentent de trouver des alternatives, tout en conservant l’énergie nucléaire. « Si nous continuons de construire des panneaux solaires et d’investir, cette énergie sera d’ici 20 ans non seulement la source la plus sûre de production d’électricité, mais aussi la moins chère », a estimé le PDG du groupe, l’anti-nucléaire Masayoshi Son.
Céline Tabou
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