
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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La SREPEN
17 septembre 2005
Dans un communiqué, la SREPEN présente “Clean up the world”, une ONG à dimension internationale qui encourage les citoyens et les communautés à agir pour vivre dans un environnement propre et sain.
"Sous son égide, plus de 35 millions de bénévoles se mobilisent chaque année pour nettoyer, remettre en état et préserver l’environnement dans lesquels ils vivent. La campagne de nettoyage trouve son point d’orgue, cette année durant 3 jours : les 16, 17 et 18 septembre.
À La Réunion, la SREPEN aurait souhaité participer à cet événement. Son intention était de faire une opération publique de ramassage de batteries lors de ces journées.
Pourquoi les batteries ?
Les batteries usagées ne sont pas des déchets ménagers : ce sont des déchets industriels spéciaux et dangereux car elles contiennent du plomb et de l’acide. Elles doivent être stockées au sec, dans des récipients étanches. Abandonnées dans la nature et exposées aux pluies, le risque de pollution de la nappe phréatique est avéré : les eaux contaminées par le plomb peuvent provoquer le saturnisme. Il s’agit là d’un problème de santé publique.
Tous les consommateurs doivent savoir que les vendeurs de batteries ont l’obligation de reprendre celles que vous leur avez achetées. L’importateur, lui, est tenu de valoriser ou de faire valoriser les batteries qu’il importe. Mais à La Réunion, on ne connaît pas exactement ni le nombre de batteries importées, ni le nombre d’importateurs. De plus, certains importateurs ne sont pas affiliés au groupement chargé d’organiser la filière de collecte des batteries usagées comme la loi les y oblige.
Voilà bientôt 2 ans qu’à la suite des difficultés de l’usine Verdi, la collecte des batteries n’est plus assurée dans le département de manière satisfaisante. Les lieux de stockage ainsi que les déchetteries sont saturés. Certains détaillants refusent de les reprendre même si le consommateur a payé son écotaxe.
Résultat : les batteries usagées sont dispersées sur les bords des routes, les terrains vagues et les ravines. Certes depuis juillet 2005, une entreprise a eu l’autorisation de stocker ces déchets mais reste encore à résoudre le problème des transports transfrontaliers des déchets. Certains pays refusent l’entrée au port des bateaux chargés de déchets. La voie maritime, qui n’est pas toujours la plus courte, ne peut passer que par les pays qui acceptent en escales ces chargements de déchets vers l’Europe. Ceci entraîne un surcoût important.
La SREPEN a du renoncer à l’opération de ramassage de batteries faute d’accès à un lieu de stockage agréé et faute de possibilité d’exportation.
Aussi, souhaite-elle que le paiement de l’écotaxe se fasse directement à l’arrivée sur l’île à un organisme qui redistribue aux structures de traitement agréées : cela permettrait que la totalité des batteries soit assujettie à la taxe quel que soit l’importateur. Les services des douanes et de la répression des Fraudes pourraient être mis à contribution.
En attendant que des pays tels que l’Afrique du Sud ou l’Australie, qui peuvent donner des garanties de traitement aux normes européennes, soient agréés pour le traitement des déchets des Régions ultrapériphériques, le transport maritime vers l’Europe reste obligatoire.
Quoiqu’il en soit, la SREPEN demande à chaque consommateur de rapporter sa batterie usagée au fournisseur."
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Messages
26 août 2020, 11:41, par Safi Alliance
Bonjour.
Je suis coordinatrice d’une ONG basée au Sud-Kivu en République Démocratique du Congo. Nous œuvrons dans l’environnement à travers l’assainissement de la ville de Bukavu (évacuation de toutes sortes de déchets) et recyclage. Pouvons-nous obtenir un partenariat avec vous ?